Le rewmiste dans tous ses états. « L'Etat a t-il décidé, à notre insu, de faire de l'université un camp d'entraînement pour nos forces de sécurité et de défense? Comment comprendre que tout un arsenal de tactique de guerre soit appliqué sur nos frères et sœurs étudiants pendant des mois ? Que pouvions nous attendre d'autre de cet acharnement si ce n'est au mieux des blessés et au pire des morts. Nous avons plusieurs fois alerté l'Etat sur le respect des franchises universitaires, sans être entendu », charge Thierno Bocoum qui enfonce le clou.
« L'Etat est responsable de ce massacre contre les étudiants et de la mort de notre jeune frère Bassirou Faye. Tout ceci est scandaleux. Comment peut-on diriger un pays et opter, en direction des étudiants, de ne promouvoir que des mesures qui remettent en question leurs droits acquis. Augmentation du montant des inscriptions, annulation de bourses, retard de paiement... Ensuite leur renier toute forme de contestation et n'exclure aucun moyen pour leurs en empêcher ...jusqu'à utiliser des armes à feu... ».
Avant de marteler : « C'est vraiment du grand n'importe quoi. Nos sœurs et nos frères étudiants ne sont pas des ballons de golf ou des cobayes qui permettent de réussir des tirs d'essai. Ils sont en quête de savoir. L'université n'est qu'un passage. Ils n'y vont pas pour se faire massacrer comme des animaux. Si ceux qui nous dirigent sont incapables de gérer les situations avec sérénité et responsabilité, ils n'ont qu'à dégager. Nous n'accepterons pas que nos frères et sœurs se fassent tuer dans leur propre pays à cause de l'irresponsabilité d'un pouvoir qui perd sa sérénité à la moindre occasion ». Le député se dit amer et il l’assume.
« L'Etat est responsable de ce massacre contre les étudiants et de la mort de notre jeune frère Bassirou Faye. Tout ceci est scandaleux. Comment peut-on diriger un pays et opter, en direction des étudiants, de ne promouvoir que des mesures qui remettent en question leurs droits acquis. Augmentation du montant des inscriptions, annulation de bourses, retard de paiement... Ensuite leur renier toute forme de contestation et n'exclure aucun moyen pour leurs en empêcher ...jusqu'à utiliser des armes à feu... ».
Avant de marteler : « C'est vraiment du grand n'importe quoi. Nos sœurs et nos frères étudiants ne sont pas des ballons de golf ou des cobayes qui permettent de réussir des tirs d'essai. Ils sont en quête de savoir. L'université n'est qu'un passage. Ils n'y vont pas pour se faire massacrer comme des animaux. Si ceux qui nous dirigent sont incapables de gérer les situations avec sérénité et responsabilité, ils n'ont qu'à dégager. Nous n'accepterons pas que nos frères et sœurs se fassent tuer dans leur propre pays à cause de l'irresponsabilité d'un pouvoir qui perd sa sérénité à la moindre occasion ». Le député se dit amer et il l’assume.
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