Selon l’Unir, le parti au pouvoir, il s’agissait d’une marche citoyenne et républicaine pour dénoncer les discours outrageants, les appels à la haine, à l'intolérance et à la révolte qui se multiplient depuis les manifestations auxquelles a appelé le Parti national panafricain, le 19 août dernier. Ce parti d'opposition entendait réclamer notamment un changement de Constitution. Le gouvernement les accusant d'avoir bravé l'interdiction de manifester, les marches avaient été violemment réprimées.
Et pour l'occasion, la foule a répondu. Sur les pancartes qu'exhibaient les marcheurs, on pouvait lire : « Oui à l'unité et à la cohésion nationale », « Non au repli identitaire », « Oui aux réformes dans la paix et le dialogue ».
La foule au milieu de laquelle il y avait Komi Sélom Klassou, le Premier ministre, Dama Dramani, le président de l'Assemblée nationale et les cadres du parti, s'est ébranlée du rond-point de Tokoin Trésor, a traversé la ville jusqu'à la plage devant l'ancien palais de la présidence.
C'est là que Forence Kouigan, coordinatrice de la plate-forme des femmes Unir, a lu la déclaration liminaire dans laquelle l'Union pour la république affirme que d'importants efforts ont été consentis depuis 2007 pour les réformes générales et exhorte les acteurs politiques à agir de manière responsable pour favoriser la mise en place des autres réformes institutionnelles et constitutionnelles.
« Au regard des derniers événements, nous tenons à réaffirmer les valeurs de dialogue, de fraternité, de solidarité, de paix, d'union et de cohésion, qui constituent les fondements de notre parti, et que nous nous évertuons à promouvoir au sein de la société togolaise », a-t-elle déclaré.
Pour Foli-Bazi Katari, deuxième vice-président du parti, c'est un grand jour. Remerciant les militants, Georges Kwawu Aïdam, le premier vice-président déclare : « A partir d'aujourd'hui, nous serons plus actifs pour défendre nos valeurs ». Avant de lancer cet avertissement : « Quand le tigre dort, il n'est pas mort. »
Et pour l'occasion, la foule a répondu. Sur les pancartes qu'exhibaient les marcheurs, on pouvait lire : « Oui à l'unité et à la cohésion nationale », « Non au repli identitaire », « Oui aux réformes dans la paix et le dialogue ».
La foule au milieu de laquelle il y avait Komi Sélom Klassou, le Premier ministre, Dama Dramani, le président de l'Assemblée nationale et les cadres du parti, s'est ébranlée du rond-point de Tokoin Trésor, a traversé la ville jusqu'à la plage devant l'ancien palais de la présidence.
C'est là que Forence Kouigan, coordinatrice de la plate-forme des femmes Unir, a lu la déclaration liminaire dans laquelle l'Union pour la république affirme que d'importants efforts ont été consentis depuis 2007 pour les réformes générales et exhorte les acteurs politiques à agir de manière responsable pour favoriser la mise en place des autres réformes institutionnelles et constitutionnelles.
« Au regard des derniers événements, nous tenons à réaffirmer les valeurs de dialogue, de fraternité, de solidarité, de paix, d'union et de cohésion, qui constituent les fondements de notre parti, et que nous nous évertuons à promouvoir au sein de la société togolaise », a-t-elle déclaré.
Pour Foli-Bazi Katari, deuxième vice-président du parti, c'est un grand jour. Remerciant les militants, Georges Kwawu Aïdam, le premier vice-président déclare : « A partir d'aujourd'hui, nous serons plus actifs pour défendre nos valeurs ». Avant de lancer cet avertissement : « Quand le tigre dort, il n'est pas mort. »
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