C’est le nerf de la guerre en Libye : le trafic de carburant alimente les groupes armés depuis le début du conflit. Une contrebande qui a des ramifications jusqu’en Suisse. C’est ce que révèlent les ONG Public Eye et Trial International. Dans un rapport, elles mettent en lumière le rôle joué par le groupe suisse Kolmar. Entre 2014 et 2015, ce groupe s’est lié à des trafiquants libyens et maltais aujourd’hui devant la justice italienne. Mais l’entreprise suisse, elle, n’a jamais été inquiétée. Pour parler de cette enquête, Agathe Duparc, enquêtrice au sein de l’ONG Public Eye, répond aux questions d’Alexis Guilleux.
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