Le leader du parti islamiste Ennahda, Racheid Ghannouchi, lors d'une conférence de presse, mercredi 19 octobre 2011, à Tunis. REUTERS/Zoubeir Souissi
Aucun débordement n’a été signalé vendredi mais cet imam, le cheikh Hocine Labidi refuse depuis plusieurs mois l’autorité du gouvernement sur la mosquée Zitouna et surtout son limogeage. Limogeage annoncé une première fois en juin à la suite de prêches haineux à l’encontre d’artistes jugés blasphématoires. Certains y avaient vu des appels au meurtre.
Mais l’imam contesté avait continué de prêcher. Cette fois, le ministère tunisien des Affaires religieuses assure l’avoir réellement congédié la semaine dernière. Un remplaçant lui a même été trouvé. Or ce n’est pas ce remplaçant qui a assuré le prêche vendredi mais un autre imam, jugé plus proche d’Hocine Labidi. D’après le porte-parole de la mosquée, Hocine Labidi était simplement malade et il est toujours en poste.
La situation est encore floue mais, Hocine Labidi fait en tous cas tout pour rester en place. Il y a quelques jours, il avait tenté de changer les cadenas de la mosquée. Interpelé, il s’est dit victime d’un enlèvement des policiers et a porté plainte. Le ministère de l’Intérieur refute toute agression.
Hocine Labidi assure en fait que la Zitouna est entièrement autonome financièrement et administrativement. Une affirmation que réfute aussi le ministère du culte.
Source: RFI
Mais l’imam contesté avait continué de prêcher. Cette fois, le ministère tunisien des Affaires religieuses assure l’avoir réellement congédié la semaine dernière. Un remplaçant lui a même été trouvé. Or ce n’est pas ce remplaçant qui a assuré le prêche vendredi mais un autre imam, jugé plus proche d’Hocine Labidi. D’après le porte-parole de la mosquée, Hocine Labidi était simplement malade et il est toujours en poste.
La situation est encore floue mais, Hocine Labidi fait en tous cas tout pour rester en place. Il y a quelques jours, il avait tenté de changer les cadenas de la mosquée. Interpelé, il s’est dit victime d’un enlèvement des policiers et a porté plainte. Le ministère de l’Intérieur refute toute agression.
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