Youyou et applaudissements, Kaïs Saïed s’offre son premier bain de foule depuis l’annonce de sa réélection. « Vive Kaïs », scande la foule massée pour le voir. « Vive la Tunisie », répond Kaïs Saïed.
Une clameur et quelques requêtes. Parfois même des supplications. Alors que Kaïs Saïed concentre les pleins-pouvoirs, certains semblent tout attendre de lui : « Occupez-vous de nous, M. le président. Faites quelque chose pour Bizerte ! », lance un premier habitant. « M. le président, que peut-on faire avec 300 dinars aujourd’hui ? », demande un autre. Ce à quoi Kaïs Saïed lui répond : « 300 dinars, ce n’est rien du tout, mais des mesures vont être mises en place pour permettre aux Tunisiens de vivre dans la dignité où qu’ils se trouvent. »
Peu avant son bain de foule, Kaïs Saïed a déposé une gerbe de fleurs en l’honneur des Tunisiens morts dans la bataille de Bizerte de 1963. Sept ans après l’indépendance officielle de la Tunisie, elle signe le départ définitif des troupes françaises. Un symbole fort pour un président qui dénonce fréquemment dans ses discours de supposés complots de l’étranger en vue de déstabiliser le pays. « Que Dieu protège la Tunisie. Chaque millimètre carré du pays doit rester sous l’entière souveraineté tunisienne. »
Une apparition présidentielle qui est venue rompre le silence qui semble s’être abattu depuis l’annonce des résultats de la présidentielle.
Une clameur et quelques requêtes. Parfois même des supplications. Alors que Kaïs Saïed concentre les pleins-pouvoirs, certains semblent tout attendre de lui : « Occupez-vous de nous, M. le président. Faites quelque chose pour Bizerte ! », lance un premier habitant. « M. le président, que peut-on faire avec 300 dinars aujourd’hui ? », demande un autre. Ce à quoi Kaïs Saïed lui répond : « 300 dinars, ce n’est rien du tout, mais des mesures vont être mises en place pour permettre aux Tunisiens de vivre dans la dignité où qu’ils se trouvent. »
Peu avant son bain de foule, Kaïs Saïed a déposé une gerbe de fleurs en l’honneur des Tunisiens morts dans la bataille de Bizerte de 1963. Sept ans après l’indépendance officielle de la Tunisie, elle signe le départ définitif des troupes françaises. Un symbole fort pour un président qui dénonce fréquemment dans ses discours de supposés complots de l’étranger en vue de déstabiliser le pays. « Que Dieu protège la Tunisie. Chaque millimètre carré du pays doit rester sous l’entière souveraineté tunisienne. »
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