Il n'y a pas de changements majeurs. Le Premier ministre Firmin Ngrébada a confié au pouvoir au pouvoir les ministères régaliens dont l'Économie, le Plan, les Finances, la Défense, les Mines, les Affaires étrangères, la Sécurité publique et la Justice.
Les ministres qui avaient ces portefeuilles dans le précédent gouvernement sont restés à leur poste.
Herbert Djono Gontron Ahaba, un responsable du RPRC, l'un des groupes rebelles renvoyé par Firmin Ngrébada dans le précédent gouvernement, retrouve son poste.
Martin Koumtamadji dit Abdoulaye Miskine, dont les éléments ont bloqué le corridor économique Bouar-Béloko, entre au gouvernement pour la première fois. Il est chargé de la Modernisation de l'administration.
Issa Bi Amadou, de la minorité peule, déjà ministre conseiller de Faustin-Archange Touadéra, entre au gouvernement.
Mahamat Taïb Yacoub, qui a brigué sans succès un mandat de député dans le 3e Arrondissement de Bangui, la capitale, est également nommé ministre.
Vendredi soir, les groupes armés n'avaient pas encore réagi à la constitution du nouveau gouvernement.
Il faut rappeler certains partis politiques, qui avaient retiré leurs membres du précédent gouvernement, ne sont pas revenus aux affaires. C'est le cas de la société civile, qui s'était également retiré.
Les ministres qui avaient ces portefeuilles dans le précédent gouvernement sont restés à leur poste.
Herbert Djono Gontron Ahaba, un responsable du RPRC, l'un des groupes rebelles renvoyé par Firmin Ngrébada dans le précédent gouvernement, retrouve son poste.
Martin Koumtamadji dit Abdoulaye Miskine, dont les éléments ont bloqué le corridor économique Bouar-Béloko, entre au gouvernement pour la première fois. Il est chargé de la Modernisation de l'administration.
Issa Bi Amadou, de la minorité peule, déjà ministre conseiller de Faustin-Archange Touadéra, entre au gouvernement.
Mahamat Taïb Yacoub, qui a brigué sans succès un mandat de député dans le 3e Arrondissement de Bangui, la capitale, est également nommé ministre.
Vendredi soir, les groupes armés n'avaient pas encore réagi à la constitution du nouveau gouvernement.
Il faut rappeler certains partis politiques, qui avaient retiré leurs membres du précédent gouvernement, ne sont pas revenus aux affaires. C'est le cas de la société civile, qui s'était également retiré.
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