Valérie Trierweiler se fait discrète depuis son arrivée à Madagascar. Et c’est dans un village isolé au milieu des collines qu’elle a fait sa première apparition publique. Le village d’Ambatomahamanina inaugure six nouvelles bornes-fontaines financées par le Secours populaire.
En tant que marraine de l’association, Valérie Trierweiler a prononcé un court discours pendant la cérémonie : « Bonjour à tous, moi je n’avais pas du tout prévu de prendre la parole et honnêtement ni même d’être là il y a encore deux jours. J’étais venue à Madagascar pour faire un reportage sur votre pays quand j’ai su qu’une mission du Secours populaire était là. Et eux aussi ont su que j’étais là, donc on a convenu ensemble que je puisse être là pour inaugurer cette station d’eau ».
Détendue, souriante, Valérie Trierweiler n’évite pas les caméras, mais refuse de répondre aux questions des quelques journalistes présents. Elle participe aux festivités jusqu’au bout, dans l’indifférence des villageois. La plupart d’entre eux ne la connaissent pas. Sauf Nirina Rasamoelina, retraité, qui en a bien entendu parler. « On a été surpris de voir Madame... Frédérique... Hésite-t-il. Comment elle s'appelle déjà ? Valérie Trierweiler, c'est ça ? Oui, je sais qui c'est, elle a écrit le livre de 329 pages ».
Valérie Trierweiler, accompagnée d’un photographe, devrait se rendre ensuite dans le sud du pays pour réaliser un reportage sur la condition des femmes dans la Grande île.
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