Face à l'impasse des négociations avec les médecins kényans en grève, le président kényan Uhuru Kenyatta s'en était violemment pris mardi aux quelque 5.000 médecins des hôpitaux publics.
A la suite de la paralysie observée dans les structures sanitaires publiques, le gouvernement avait menacé de remplacer les médecins grévistes par des médecins cubains et des stagiaires locaux.
Les hommes en blousses blanche demandent une augmentation de leur salaire de 50% comme convenu dans un accord signé en 2013, mais qui n'a jamais été appliqué. Le gouvernement proposait jusque-là une hausse de 40%.
Les grévistes dénoncent également la corruption endémique dans le pays et exigent des moyens supplémentaires pour les hôpitaux publics.
Selon le correspondant de la BBC à Nairobi, le syndicat des médecins a signé des documents pour mettre fin à la grève et a demandé au gouvernement de faire de même.
A la suite de la paralysie observée dans les structures sanitaires publiques, le gouvernement avait menacé de remplacer les médecins grévistes par des médecins cubains et des stagiaires locaux.
Les hommes en blousses blanche demandent une augmentation de leur salaire de 50% comme convenu dans un accord signé en 2013, mais qui n'a jamais été appliqué. Le gouvernement proposait jusque-là une hausse de 40%.
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