Le Réseau Ouest africain pour l’édification de la Paix appelle au respect des règles déjà établies et ne pouvant pas être modifiées à ce niveau du processus électoral. «Le débat sur les cartes d’identité et d’électeur biométriques prend de plus en plus d’ampleur et l’inquiétude sur le reste des sénégalais ne l’ayant pas encore grandit de jour en jour», constate l'organisation.
Pour WANEP Sénégal, «les difficultés des citoyens sénégalais à obtenir leur carte d’identité et d’électeur biométrique et le manque de consensus devant les impaires notées dans la production et la distribution des cartes d’identité biométriques, laissent présager une issue difficile de ces élections».
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les acteurs de la paix rappellent que «le 24 juillet, le Président de la République a saisi le Conseil constitutionnel afin de permettre aux électeurs qui n’ont pas pu retirer leur carte d’électeur de voter avec des pièces suivantes : un passeport, un permis de conduire, entre autres». Une «saisine (intervenant) à moins d’une semaine des élections législatives du 30 juillet, (qui) est mal accueillie par une bonne frange de la population. Ce qui rend, davantage, difficile le dialogue tant recherché entre les difficultés acteurs», déplorent-ils.
Pour WANEP Sénégal, «les difficultés des citoyens sénégalais à obtenir leur carte d’identité et d’électeur biométrique et le manque de consensus devant les impaires notées dans la production et la distribution des cartes d’identité biométriques, laissent présager une issue difficile de ces élections».
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les acteurs de la paix rappellent que «le 24 juillet, le Président de la République a saisi le Conseil constitutionnel afin de permettre aux électeurs qui n’ont pas pu retirer leur carte d’électeur de voter avec des pièces suivantes : un passeport, un permis de conduire, entre autres». Une «saisine (intervenant) à moins d’une semaine des élections législatives du 30 juillet, (qui) est mal accueillie par une bonne frange de la population. Ce qui rend, davantage, difficile le dialogue tant recherché entre les difficultés acteurs», déplorent-ils.
Autres articles
-
Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026
-
Budget 2026 : plus de 148 milliards FCFA alloués au ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle
-
Budget Hydraulique 2026 : Ayib Daffé alerte sur les défis structurels de l’accès à l’eau au Sénégal
-
Maintien de Moustapha Diop en prison : Le parti Farlu dénonce l’attitude du Premier président de la Cour d’appel de Dakar
-
Assemblée nationale : Le “terameeting” de Sonko à l’origine d’un clash entre deux députées de l’opposition




Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026


