« Le Conseil constitutionnel dans sa décision a demandé au Chef de l'Etat de choisir une date pour l'organisation de l'élection. Mais l'article L 63 du code électoral indique que la date pour une élection est prise par décret et c’est le président qui régit les décrets », a commenté Thierno Bocoum leader du mouvement Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (AGIR).
Invité du plateau Midi Keng sur Pressafriktvhd, M. Bocoum explique « on ne choisit pas les délais qui nous arrangent pour une élection. C’est des délais établis et déjà codifiés. L'article L 31 de la constitution stipule que l'élection présidentielle doit se tenir, sur 45 jours francs au plus et 30 jours francs au moins et c'est non négociable. Et cette proposition de loi votée à l'Assemblée s'est basée sur l'article 31 tout en voulant y apporter des modifications.
Donc si le Conseil constitutionnel a refusé aux députés la modification dudit article, c'est pas aux acteurs politiques qu'il va l'autoriser. Donc évidement, des discussions, débats qui peuvent être menés, mais pour ce qui est de la durée du mandat du président de la République, le conseil est clair là-dessus », a-t-il indiqué.
Invité du plateau Midi Keng sur Pressafriktvhd, M. Bocoum explique « on ne choisit pas les délais qui nous arrangent pour une élection. C’est des délais établis et déjà codifiés. L'article L 31 de la constitution stipule que l'élection présidentielle doit se tenir, sur 45 jours francs au plus et 30 jours francs au moins et c'est non négociable. Et cette proposition de loi votée à l'Assemblée s'est basée sur l'article 31 tout en voulant y apporter des modifications.
Donc si le Conseil constitutionnel a refusé aux députés la modification dudit article, c'est pas aux acteurs politiques qu'il va l'autoriser. Donc évidement, des discussions, débats qui peuvent être menés, mais pour ce qui est de la durée du mandat du président de la République, le conseil est clair là-dessus », a-t-il indiqué.
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"




Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


