Le premier à avoir été reçu, l'ex-Premier ministre Adolphe Muzito, a déclaré avoir prodigué des conseils aux évêques, sans d'autres détails sur la nature de ces conseils.
La délégation du MLC qui, elle, n'est pas partie prenante au dialogue, a insisté sur le respect de la constitution comme solution pour sortir le pays de la crise. « Le jour où le président de la République va intérioriser qu’il est dans son deuxième et dernier mandat, cette bombe sera désamorcée », assure Eve Bazaiba Masudi, secrétaire générale du MLC, le Mouvement de libération du Congo.
Pour la plate-forme AR, Alternance pour la République, les préalables doivent d'abord être levés avant de parler dialogue. « Nous avons souhaité, bien entendu, que les préalables que nous avons exigé trouvent des réponses », explique Franck Diongo du MPLC. Parmi ces préalables, la libération des détenus politiques comme l'ont rappelé l'UNC et ses alliés. « La balle est dans le camp de Kabila, il signe les ordonnances ! Nos amis sont libres ; vous nous verrez au dialogue, (et) pas pour partager le pouvoir », assure Vital Kamerhe, le leader de l'UNC. Précision de Vital Kamerhe : nous n'irons pas au dialogue pour reconduire Kabila. Celui-ci est déjà en fin de mandat.
Pour les animateurs de la société civile, le facilitateur Edem Kodjo a cherché à politiser leur composante en choisissant dix personnes : cinq qui seraient proches de la majorité et autant de l'opposition.
Source: Rfi.fr
La délégation du MLC qui, elle, n'est pas partie prenante au dialogue, a insisté sur le respect de la constitution comme solution pour sortir le pays de la crise. « Le jour où le président de la République va intérioriser qu’il est dans son deuxième et dernier mandat, cette bombe sera désamorcée », assure Eve Bazaiba Masudi, secrétaire générale du MLC, le Mouvement de libération du Congo.
Pour la plate-forme AR, Alternance pour la République, les préalables doivent d'abord être levés avant de parler dialogue. « Nous avons souhaité, bien entendu, que les préalables que nous avons exigé trouvent des réponses », explique Franck Diongo du MPLC. Parmi ces préalables, la libération des détenus politiques comme l'ont rappelé l'UNC et ses alliés. « La balle est dans le camp de Kabila, il signe les ordonnances ! Nos amis sont libres ; vous nous verrez au dialogue, (et) pas pour partager le pouvoir », assure Vital Kamerhe, le leader de l'UNC. Précision de Vital Kamerhe : nous n'irons pas au dialogue pour reconduire Kabila. Celui-ci est déjà en fin de mandat.
Pour les animateurs de la société civile, le facilitateur Edem Kodjo a cherché à politiser leur composante en choisissant dix personnes : cinq qui seraient proches de la majorité et autant de l'opposition.
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort
-
Guinée-Bissau: la junte au pouvoir installe un Conseil national de transition
-
Mali: l'imam Dicko prend la tête d'une nouvelle coalition d'opposition non violente et clandestine
-
Corruption, fraude, violences... l'unité militaire britannique au Kenya dénoncée par le Parlement du pays
-
RDC-Rwanda : sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix





Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort


