Les chercheurs ont analysé les données de plusieurs laps de temps au cours des trois millions et demi d’années passées, et plusieurs périodes sont identifiées comme ayant été d’un demi à deux degrès plus chaudes que l’époque pré-industrielle.
Surplus de gaz à effet de serre
Il en ressort qu’un réchauffement global limité à deux degrés, comme le préconise l’accord de Paris, engendrera des déplacements rapides des zones climatiques et des écosystèmes, qui migreront alors en haute altitude et vers les pôles.
Au Groenland et en Antarctique, le réchauffement rapide des pôles occasionnera la fonte des calottes polaires, relâchant alors un surplus de gaz à effet de serre.
D’autre part, un réchauffement de un degré et demi à deux degrès sera suffisant pour provoquer une montée rapide du niveau marin de plus de six mètres, qui persistera pendant des milliers d’années.
Fonte du permafrost
Mais un réchauffement supplémentaire sera causé par la fonte du permafrost qui relâchera du gaz carbonique et du méthane, et c’est une donnée qui n’est pas prise en compte par les modèles prévisionnels actuels.
Ces observations des données du passé montrent donc que si les modèles climatiques sont réalistes à court terme, ils sous-estiment les effets du réchauffement à long terme et son amplification par les régions polaires.
RFI
Surplus de gaz à effet de serre
Il en ressort qu’un réchauffement global limité à deux degrés, comme le préconise l’accord de Paris, engendrera des déplacements rapides des zones climatiques et des écosystèmes, qui migreront alors en haute altitude et vers les pôles.
Au Groenland et en Antarctique, le réchauffement rapide des pôles occasionnera la fonte des calottes polaires, relâchant alors un surplus de gaz à effet de serre.
D’autre part, un réchauffement de un degré et demi à deux degrès sera suffisant pour provoquer une montée rapide du niveau marin de plus de six mètres, qui persistera pendant des milliers d’années.
Fonte du permafrost
Mais un réchauffement supplémentaire sera causé par la fonte du permafrost qui relâchera du gaz carbonique et du méthane, et c’est une donnée qui n’est pas prise en compte par les modèles prévisionnels actuels.
Ces observations des données du passé montrent donc que si les modèles climatiques sont réalistes à court terme, ils sous-estiment les effets du réchauffement à long terme et son amplification par les régions polaires.
RFI
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