En RDC, la première décision annoncée concerne la création d’une cellule d’analyse et de prospective. Cet organe sera rattaché au bureau politique et au secrétariat permanent du parti. « Nous devons être en mesure d’évaluer toutes les hypothèses possibles concernant la marche du pays », a déclaré à Patient Ligodi, de la rédaction Afrique de RFI,Aubin Minaku. Ce sera, selon lui, une sorte de laboratoire d’idées. Cette cellule qualifiée de stratégique devra être mise en place d’ici à dix jours, avec la désignation de ses animateurs dans le même délai.
D’autres nominations sont attendues, notamment pour quatre des six postes de secrétaires permanents adjoints, actuellement vacants. Des changements sont également prévus au niveau provincial, dans l’optique d’une réorganisation du parti en profondeur. Cette restructuration vise aussi les élections générales de 2028.
Aubin Minaku explique que le parti se considère comme étant dans la résistance face à ce qu’il qualifie de dictature. Pour porter ce nouvel élan, la cellule de communication du parti sera aussi réorganisée et professionnalisée, avec une présence renforcée à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Joseph Kabila, lui, est toujours absent du pays. « Il est à l’étranger pour son projet doctoral. Mais aussi pour des raisons sécuritaires. Avant son départ, il faisait face à un harcèlement politique et à des menaces sur sa personne », explique Aubin Minaku. Un retour en RDC ? « Oui, mais il faut des garanties de sécurité », martèle Aubin Minaku.
D’autres nominations sont attendues, notamment pour quatre des six postes de secrétaires permanents adjoints, actuellement vacants. Des changements sont également prévus au niveau provincial, dans l’optique d’une réorganisation du parti en profondeur. Cette restructuration vise aussi les élections générales de 2028.
Aubin Minaku explique que le parti se considère comme étant dans la résistance face à ce qu’il qualifie de dictature. Pour porter ce nouvel élan, la cellule de communication du parti sera aussi réorganisée et professionnalisée, avec une présence renforcée à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Joseph Kabila, lui, est toujours absent du pays. « Il est à l’étranger pour son projet doctoral. Mais aussi pour des raisons sécuritaires. Avant son départ, il faisait face à un harcèlement politique et à des menaces sur sa personne », explique Aubin Minaku. Un retour en RDC ? « Oui, mais il faut des garanties de sécurité », martèle Aubin Minaku.
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