Selon l'Agence France Presse, des soldats ont mené vendredi 2 janvier à Banjul des recherches au porte-à-porte, pour tenter de mettre la main sur des participants à l'attaque qui seraient encore dans la capitale. Plusieurs dizaines de civils ont d'ores et déjà été arrêtés depuis mardi et sont en train d'être interrogés par la très redoutée agence nationale du renseignement.
Une source proche des services gambiens affirme que les enquêteurs ont mis la main sur le plan d'attaque, mais aussi sur une grande quantité d'armes automatiques très sophistiquées ainsi que des explosifs. Des armes dissimulées dans des ballots de friperie.
La Raddho appelle la Guinée-Bissau à ne pas extrader les Gambiens
Quatre militaires gambiens ont fui vers la Guinée-Bissau où ils se sont rendus aux autorités. La Raddho (Rencontre africaine des droits de l'homme) appelle les Bissau-Guinéens à ne pas les remettre au régime gambien. Car ils risqueraient, selon l'ONG, d'être exécutés à leur retour au pays ou d'être condamnés à la peine de mort.
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