«Laurent Gbagbo et son épouse ont leur destin en main», a-t-il ajouté. Si le président sortant ivoirien, qui refuse le verdict des urnes, ne quitte pas son poste «avant la fin de la semaine (...) ils seront inscrits immédiatement sur la liste des sanctions». a précisé le chef de l'Etat français.
La Côte d'Ivoire était sous tension ce vendredi après les affrontements meurtriers la veille entre les forces de sécurité loyales à Laurent Gbagbo et les partisans d'Alassane Ouattara, qui projettent de nouveaux rassemblements dans la journée.