« Nous espérons que ces appels seront entendus par l’ensemble des acteurs du processus électoral pour qu’on puisse, au lendemain des élections, renforcer la vitalité de la démocratie au Sénégal et son leadership en Afrique », a dit M. Guèye lors d’un diner-débat organisé par l’AACS, vendredi.
Le thème débattu par les membres de cette amicale est : « Elections de 2012 et paix civile : contribution de l’AACS ».
Des acteurs du processus électoral, des membres de la société civile, des représentants des partis politiques, des organes de contrôle et de supervision des élections, d’organisations non gouvernementales, ainsi que des autorités administratives et des partenaires techniques et financiers de l’Etat ont pris part à cette rencontre.
« Partout dans le pays, des initiatives se démultiplient pour appeler à la sauvegarde de la paix civile. Nous avons estimé qu’étant une organisation républicaine et soucieuse de la sauvegarde de cette paix, on ne pouvait pas être en reste » telles sont les raisons de l’organisation de cette rencontre, selon Ibrahima Guèye.
Les prochaines élections sont, pour les administrateurs civils, « un enjeu majeur, un virage qui peut permettre d’opérer une rupture significative dans la gestion de la chose politique ou publique », a-t-il signalé.
Aussi a-t-il lancé un appel aux acteurs du processus électoral partis politiques, organisations civiles, le gouvernement, etc., à « ne pas remettre en cause nos acquis démocratiques » et à ne pas « ébranler la stabilité de notre paix civile ».
« Le fait que des citoyens s’agitent de tous les bords constitue pour nous un dynamisme salutaire, qui permettra à tout un chacun de s’impliquer dans le processus électoral, de contribuer à l’organisation d’élections apaisées, libres et transparentes », a commenté le président de l’AACS, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Notre contribution à l’apaisement des agitations se situe à plusieurs niveaux. C’est pourquoi nos collègues, les gouverneurs, les préfets et sous-préfets, ont été conviés à » cette rencontre pour lancer un appel à l’apaisement, a-t-il expliqué.
Il a rappelé aux administrateurs civils leur devoir « d’impartialité » et de « loyauté » et les a invités à veiller à « l’application stricte des lois et règlements en vigueur » en matière électorale, « en toute circonstance, dans la sérénité, sans état d’âme et dans le respect scrupuleux des règles d’éthique et de déontologie ».
Les Sénégalais vont aux urnes le 26 février pour élire un président de la République. Les élections législatives sont prévues en juin prochain.
L’opposition et la société civile dénoncent « la candidature anticonstitutionnelle » à l’élection présidentielle du président sortant Abdoulaye Wade. Le Conseil constitutionnel est habilité à dire, fin janvier, si les candidatures déposées à son greffe sont recevables ou pas.
Et le mouvement du 23 juin (M-23) préconise des manifestations du 23 au 29 janvier pour contester la candidature du président sortant Me Abdoulaye Wade à l’élection présidentielle de 2012 au Sénégal.
Le thème débattu par les membres de cette amicale est : « Elections de 2012 et paix civile : contribution de l’AACS ».
Des acteurs du processus électoral, des membres de la société civile, des représentants des partis politiques, des organes de contrôle et de supervision des élections, d’organisations non gouvernementales, ainsi que des autorités administratives et des partenaires techniques et financiers de l’Etat ont pris part à cette rencontre.
« Partout dans le pays, des initiatives se démultiplient pour appeler à la sauvegarde de la paix civile. Nous avons estimé qu’étant une organisation républicaine et soucieuse de la sauvegarde de cette paix, on ne pouvait pas être en reste » telles sont les raisons de l’organisation de cette rencontre, selon Ibrahima Guèye.
Les prochaines élections sont, pour les administrateurs civils, « un enjeu majeur, un virage qui peut permettre d’opérer une rupture significative dans la gestion de la chose politique ou publique », a-t-il signalé.
Aussi a-t-il lancé un appel aux acteurs du processus électoral partis politiques, organisations civiles, le gouvernement, etc., à « ne pas remettre en cause nos acquis démocratiques » et à ne pas « ébranler la stabilité de notre paix civile ».
« Le fait que des citoyens s’agitent de tous les bords constitue pour nous un dynamisme salutaire, qui permettra à tout un chacun de s’impliquer dans le processus électoral, de contribuer à l’organisation d’élections apaisées, libres et transparentes », a commenté le président de l’AACS, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Notre contribution à l’apaisement des agitations se situe à plusieurs niveaux. C’est pourquoi nos collègues, les gouverneurs, les préfets et sous-préfets, ont été conviés à » cette rencontre pour lancer un appel à l’apaisement, a-t-il expliqué.
Il a rappelé aux administrateurs civils leur devoir « d’impartialité » et de « loyauté » et les a invités à veiller à « l’application stricte des lois et règlements en vigueur » en matière électorale, « en toute circonstance, dans la sérénité, sans état d’âme et dans le respect scrupuleux des règles d’éthique et de déontologie ».
Les Sénégalais vont aux urnes le 26 février pour élire un président de la République. Les élections législatives sont prévues en juin prochain.
L’opposition et la société civile dénoncent « la candidature anticonstitutionnelle » à l’élection présidentielle du président sortant Abdoulaye Wade. Le Conseil constitutionnel est habilité à dire, fin janvier, si les candidatures déposées à son greffe sont recevables ou pas.
Et le mouvement du 23 juin (M-23) préconise des manifestations du 23 au 29 janvier pour contester la candidature du président sortant Me Abdoulaye Wade à l’élection présidentielle de 2012 au Sénégal.
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