Le but visé de cette formation, selon les initiateurs, est de comprendre les fondements des systèmes d’information géographique (SIG) et de manipuler des données géospatiales afin de produire une carte dans Quantum GIS, un système d’information géographique comparable au logiciel commercial ArcGIS, quant à ses fonctionnalités, mais de type logiciel libre (Open source) dont le téléchargement et l’utilisation sont gratuits.
Pendant les cinq (05) jours d’apprentissage et d’échange, les participants ont pu créer quelques cartes géographiques présentant des données tirées de recensement de la population de leur pays d’appartenance et qui ont été présentées à l’ensemble des participants lors du dernier jour de l’atelier.
Gabriel Sangli, porte-parole des participants, au cours de la cérémonie de clôture, a remercié les formateurs avant de solliciter la mise en place d’une plateforme numérique pour pérenniser les acquis et promouvoir les échanges des expériences des dix-sept (17) pays de la zone francophone africaine outillés. « Nous sommes venus de différents pays avec divers niveaux et aujourd’hui, nous repartons avec le même niveau. Le tout, grâce à l’appui des organisateurs », dixit Gabriel Sangli sous l’applaudissement de ses pairs.
Cette formation qui a regroupé dix-sept (17) pays de l’Afrique francophone est l’œuvre de l’Observatoire Démographique et Statistique de l’Espace Francophone (ODSEF) de l’Université Laval et le Réseau sur le Renforcement de la formation démographique en Afrique francophone de l’Union Internationale pour l’Etude Scientifique de la Population (UIESP), en collaboration avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) et la Fondation Hewlett.
Pendant les cinq (05) jours d’apprentissage et d’échange, les participants ont pu créer quelques cartes géographiques présentant des données tirées de recensement de la population de leur pays d’appartenance et qui ont été présentées à l’ensemble des participants lors du dernier jour de l’atelier.
Gabriel Sangli, porte-parole des participants, au cours de la cérémonie de clôture, a remercié les formateurs avant de solliciter la mise en place d’une plateforme numérique pour pérenniser les acquis et promouvoir les échanges des expériences des dix-sept (17) pays de la zone francophone africaine outillés. « Nous sommes venus de différents pays avec divers niveaux et aujourd’hui, nous repartons avec le même niveau. Le tout, grâce à l’appui des organisateurs », dixit Gabriel Sangli sous l’applaudissement de ses pairs.
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