Les habitants du Cap seront alors contraints de faire la queue à des points de distribution d'eau. Mais pour l'instant, à peine 30 pourcents des résidents respectent la limite fixée par la municipalité qui est : 87 litres d'eau par jour.
La maire a donc annoncé de nouvelles restrictions. A partir du 1er février, les habitants vont devoir se débrouiller avec 50 litres par jour, ou ils encourront le risque de devoir payer de fortes amendes.
Des usines de dessalement ont été installées pour épurer l'eau de mer à grands frais. Et les responsables politiques tentent de réfléchir sur comment partager l'eau entre les résidents les plus pauvres des townships, les fermiers, les hôtels et les habitants les plus riches du Cap, avec leurs pelouses et leurs piscines, grandes consommatrices de l'or bleu.
La maire a donc annoncé de nouvelles restrictions. A partir du 1er février, les habitants vont devoir se débrouiller avec 50 litres par jour, ou ils encourront le risque de devoir payer de fortes amendes.
Le Cap en est à sa troisième année de sécheresse. Certains accusent le changement climatique. D'autres affirment que c'est la croissance de la population qui est responsable. Mais des experts estiment qu'une meilleure planification avec la construction, par exemple, de nouveaux barrages, aurait pu changer la donne.
Des usines de dessalement ont été installées pour épurer l'eau de mer à grands frais. Et les responsables politiques tentent de réfléchir sur comment partager l'eau entre les résidents les plus pauvres des townships, les fermiers, les hôtels et les habitants les plus riches du Cap, avec leurs pelouses et leurs piscines, grandes consommatrices de l'or bleu.
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