Ce sera le début du compte à rebours devant mener à une première production prévue pour atteindre 2,5 millions de tonnes par an (mtpa) de gaz naturel liquéfié (GNL), au plus tard d’ici trois ans. Le Sénégal et la Mauritanie vont prendre une décision finale d’investissement (DFI) sur leur installation commune de gaz naturel liquéfié flottante en septembre 2017, indique Mamadou Faye, Directeur général de Petrosen.
Le projet piloté par Kosmos energy, l’opérateur des blocs de gaz entre les frontières maritimes sénégalo-mauritaniennes et la société nationale sénégalaise, Petrosen et sa réplique mauritanienne la SMHPM. Ces sociétés sont associées à des agents des ministères de l’énergie des deux pays.
La première priorité, souligne «Enquête», est de faire en sorte que le gaz serve à augmenter la production d’énergie domestique pour les deux pays. «Si le gaz n’est pas cher, il peut être utilisé pour encourager les promoteurs de projets au Sénégal », explique Mamadou Faye explique. Le Directeur général de Petrosen d’ajouter que «le développement de ces marchés va induire une forte demande intérieure d’électricité qui pourrait atteindre les 2-3 mtpa. Le surplus d’électricité pourrait aussi être exporté via le réseau d’interconnexion de l’Afrique de l’ouest».
Le projet piloté par Kosmos energy, l’opérateur des blocs de gaz entre les frontières maritimes sénégalo-mauritaniennes et la société nationale sénégalaise, Petrosen et sa réplique mauritanienne la SMHPM. Ces sociétés sont associées à des agents des ministères de l’énergie des deux pays.
La première priorité, souligne «Enquête», est de faire en sorte que le gaz serve à augmenter la production d’énergie domestique pour les deux pays. «Si le gaz n’est pas cher, il peut être utilisé pour encourager les promoteurs de projets au Sénégal », explique Mamadou Faye explique. Le Directeur général de Petrosen d’ajouter que «le développement de ces marchés va induire une forte demande intérieure d’électricité qui pourrait atteindre les 2-3 mtpa. Le surplus d’électricité pourrait aussi être exporté via le réseau d’interconnexion de l’Afrique de l’ouest».
Autres articles
-
Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence
-
Sénégal : hausse de 2,9% des prix à la consommation en rythme annuel, en novembre 2025, selon l'Ansd
-
Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko
-
Crise financière : «La dette cachée est une polémique qui n’a pas sa raison d’être» (Abdourahmane Sarr)
-
Guichets uniques et cybersécurité : les nouvelles priorités du commerce interafricain




Monnaie unique ECO : la Cédéao alerte sur le retard des critères de convergence


