Furax d’avoir passé trois heures à faire le rang, avant d’embarquer sur Paris, alors que des policiers faisaient partir d’autres passagers sous ses yeux, Y B S avait posté une vidéo sur le net le 1er novembre 2016 dans laquel il traitait les agents de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor de tous les noms d’oiseau.
Rentré à Paris, il est revenu au Sénégal dimanche dernier à bord de Royal Air Maroc et a été arrêté par la Police au moment où il remplissait les formalités d'usage.
S’exprimant en Wolof, Y B S a déclaré dans la vidéo que : « C’est une honte pour un pays comme le Sénégal qui accueille toutes les nationalités. Ces policiers n’ont pas honte, ils font cela au vu et au su de tout le monde. Ils ne voient même pas qu’ils font honte au Sénégal. Le Sénégal est pour tout le monde ».
Et de poursuivre : «Si l’on ne réagit pas en voyant une telle chose ou si on la minimise, on porte préjudice à notre pays. Ce qui nous importe, c’est l’image de marque du Sénégal. Si l’on ne dénonce pas ce fait, c’est qu’on est comme eux».
A l'en croire, le retard de son embarcation est dû au fait que des policiers amenaient leurs « proches » qui se présentaient devant les guichets et pire, ils faisaient partir ceux qui viennent à la dernière minute parce qu’ils leurs donnent des miettes.
Selon les sources de l'AS, Y B S a reconnu les faits et présenté ses plates excuses à la Police.
Rentré à Paris, il est revenu au Sénégal dimanche dernier à bord de Royal Air Maroc et a été arrêté par la Police au moment où il remplissait les formalités d'usage.
S’exprimant en Wolof, Y B S a déclaré dans la vidéo que : « C’est une honte pour un pays comme le Sénégal qui accueille toutes les nationalités. Ces policiers n’ont pas honte, ils font cela au vu et au su de tout le monde. Ils ne voient même pas qu’ils font honte au Sénégal. Le Sénégal est pour tout le monde ».
Et de poursuivre : «Si l’on ne réagit pas en voyant une telle chose ou si on la minimise, on porte préjudice à notre pays. Ce qui nous importe, c’est l’image de marque du Sénégal. Si l’on ne dénonce pas ce fait, c’est qu’on est comme eux».
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