Il s'agit d'un appareil A321 qui sera utilisé pour les vols intérieurs.
L'avion est parti du siège de l'avionneur européen à Toulouse (sud-ouest de la France) avec notamment à son bord le PDG de la division aviation commerciale d'Airbus, Fabrice Brégier.
Une cérémonie officielle a été organisée à leur arrivée sur le tarmac de l'aéroport de Téhéran en présence du ministre iranien des Transports Abbas Akhoundi.
Les sanctions américaines imposées contre l'Iran au lendemain de la révolution islamique de 1979 empêchaient Téhéran d'acheter des avions occidentaux.
Mais la flotte iranienne compte déjà des appareils Airbus, qui ont pour la plupart au moins une quinzaine d'années d'ancienneté.
L'accord nucléaire conclu en juillet 2015 avec les grandes puissances, dont les Etats-Unis, a permis la levée d'une partie des sanctions internationales imposées contre l'Iran, autorisant notamment la vente d'avions au pays.
Selon le patron d'Iran Air, Farhad Parvaresh, Téhéran espère recevoir plusieurs autres avions d'ici la fin de l'année iranienne, qui s’achèvera le 20 mars.
Iran Air avait signé le 22 décembre une commande ferme de 100 appareils du constructeur Airbus pour un montant d'environ 20 milliards de dollars.
La commande, qui fait suite à un engagement signé en janvier 2016 à Paris, couvre 46 moyen-courriers A320, 38 long-courrier A330 et 16 A350.
Iran Air et l'avionneur américain Boeing avaient également signé le 11 décembre à Téhéran leur plus gros contrat depuis près de 40 ans, portant sur l'achat de 80 appareils destinés à remplacer une flotte iranienne vieillissante. Ce contrat a une valeur de 16,6 milliards de dollars.
L'Iran aura besoin de 400 à 500 avions de ligne dans la prochaine décennie, selon l'Organisation iranienne de l'aviation civile.
L'avion est parti du siège de l'avionneur européen à Toulouse (sud-ouest de la France) avec notamment à son bord le PDG de la division aviation commerciale d'Airbus, Fabrice Brégier.
Une cérémonie officielle a été organisée à leur arrivée sur le tarmac de l'aéroport de Téhéran en présence du ministre iranien des Transports Abbas Akhoundi.
Les sanctions américaines imposées contre l'Iran au lendemain de la révolution islamique de 1979 empêchaient Téhéran d'acheter des avions occidentaux.
Mais la flotte iranienne compte déjà des appareils Airbus, qui ont pour la plupart au moins une quinzaine d'années d'ancienneté.
L'accord nucléaire conclu en juillet 2015 avec les grandes puissances, dont les Etats-Unis, a permis la levée d'une partie des sanctions internationales imposées contre l'Iran, autorisant notamment la vente d'avions au pays.
Selon le patron d'Iran Air, Farhad Parvaresh, Téhéran espère recevoir plusieurs autres avions d'ici la fin de l'année iranienne, qui s’achèvera le 20 mars.
Iran Air avait signé le 22 décembre une commande ferme de 100 appareils du constructeur Airbus pour un montant d'environ 20 milliards de dollars.
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