Ce matin l'avocat de la partie civile, le bâtonnier Me Moussa Felix Sow a repris la parole pour tenter de démontrer la culpabiblité de Karim Wade devant la barre. Il est parti de l'ouverture des rouages de l'Etat à Karim Wade par son père qui était au pouvoir. "Si Me Wade avait nommé son fils conseiller spécial chargé du secteur privé, ce n'est pas le hasard" lance Me Sow. Devant la barre, il a soutenu qu'il ne croit pas au hasard et s'inscrit dans la logique d'Albert Einstein qui disait que "Dieu ne joue pas au dé".
Dans sa plaidoirie, il a soulevé le problème des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) qui était le fleuron de l'Economie du Sénégal et qui se retrouve du jour au lendemain dans des difficultés financières inouïes. "On nous avait fait croire que les Indiens étaient derrière la reprise de cette société, mais investigations faites, il s'est trouvé que les indiens avaient 15% et les 65 % restant revenaient à une autre société basée au Chypre" renseigne Me Felix Sow. Il a aussi cité l'exemple de la Sonacos et entre autres sociétés.
D'après Me Sow, puisque les fonctions étatiques ne permettaient pas à Karim Wade d'avoir des entreprises privées, il fallait qu'il cherche un bras armé qui lui permet de réaliser ses affaires. "Cette personne n'est autre que Bibo Bourgi" précise-t-il.
"Dans les deux personnages de Karim Wade et Bibo Bourgi, tout est apparence, tromperie, simulation. L'expression la plus achevée de cette fictivité est M. Mansour Gaye", accuse-t-il. L'ancien bâtonnier de demander à ce que ce dernier soit poursuivi pour faux témoignage.
Revenant sur la subtilité avec laquelle ils auraient tissé leur toile d'araignée, Me Sow lance "qu'ils ne sont rien du tout. Ils ont juste profité de leur statut de privilégiés. Il faut qu'on arrête de nous parler de leur intelligence. Dans une apparence de légalité, ils ont utilisé des experts-comptables, des avocats, des notaires pour chiffonner les sociétés concernées", justifie l'avocat de la partie civile.
Dans sa plaidoirie, il a soulevé le problème des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) qui était le fleuron de l'Economie du Sénégal et qui se retrouve du jour au lendemain dans des difficultés financières inouïes. "On nous avait fait croire que les Indiens étaient derrière la reprise de cette société, mais investigations faites, il s'est trouvé que les indiens avaient 15% et les 65 % restant revenaient à une autre société basée au Chypre" renseigne Me Felix Sow. Il a aussi cité l'exemple de la Sonacos et entre autres sociétés.
D'après Me Sow, puisque les fonctions étatiques ne permettaient pas à Karim Wade d'avoir des entreprises privées, il fallait qu'il cherche un bras armé qui lui permet de réaliser ses affaires. "Cette personne n'est autre que Bibo Bourgi" précise-t-il.
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