16 juin 1999-16 juin 2015, l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) fête ses seize (16) ans. Président de l’Assemblée nationale et patron des progressistes, Moustapha Niasse n’a pas manqué de se prononcer. Ce, en marge de la cérémonie de dédicace de livre de l’ancien ministre du Plan, Oumar Kassimou Dia: «L’agriculture Sénégalaise face aux ajustements structurels».
«Si Dieu le veut dans seize (16) ans Inch Allah (S’il plait à Dieu), ceux que Dieu a laissé là devront pouvoir célébrer les trente-deux (32) ans de l’AFP et seize (16) ans plus tard les quarante-huit (48) ans de l’AFP et 16 ans plus tard, ainsi de suite. Cette œuvre, elle est immense, elle s’est inscrite dans le temps et dans la durabilité grâce aux principes solides qui la sous-tendent, aux prémices et aux réalités qui, conjuguées les unes aux autres, ont conduit à la création de l’AFP », campe Moustapha Niasse.
Selon le leader de l’AFP, ce parti est «un idéal de propretés, de netteté, d’engagement et de patriotisme en mouvement, un idéal de bonté et de générosité qui ont participé à l’épanouissement d’un peuple et d’un pays. C’est un idéal qui ne finit pas ». Dès lors, dit-il: «Avec l’aide de Dieu, j’ai contribué à la formation de cadres qui aujourd’hui ont pris en charge l’AFP ». «Je participe maintenant rarement aux réunions de l’AFP, toutes les réunions sont animées t dirigées par les jeunes cadres du parti; cadres ne veut pas dire être allé à l’université ».
Car «il y a des illettrés qui sont des cadres politiques grâce à l’expérience qu’ils ont accumulée, aux connaissances acquises et grâce à la maîtrise qui est la leur pour gérer les phénomènes de la vie quotidienne. Ce sont les cadres là et les cadres universitaires qui dirigent aujourd’hui l’AFP », assure Moustapha Niasse de préciser qu’il « ne dit pas qu’il a quitté le parti » mais « a laissé la bride libre aux jeunes cadres… ». «J’encourage, je soutiens et j’accompagne et quand il y a quelque chose à donner comme effort, je donne cet effort …», formule-t-il.
«Si Dieu le veut dans seize (16) ans Inch Allah (S’il plait à Dieu), ceux que Dieu a laissé là devront pouvoir célébrer les trente-deux (32) ans de l’AFP et seize (16) ans plus tard les quarante-huit (48) ans de l’AFP et 16 ans plus tard, ainsi de suite. Cette œuvre, elle est immense, elle s’est inscrite dans le temps et dans la durabilité grâce aux principes solides qui la sous-tendent, aux prémices et aux réalités qui, conjuguées les unes aux autres, ont conduit à la création de l’AFP », campe Moustapha Niasse.
Selon le leader de l’AFP, ce parti est «un idéal de propretés, de netteté, d’engagement et de patriotisme en mouvement, un idéal de bonté et de générosité qui ont participé à l’épanouissement d’un peuple et d’un pays. C’est un idéal qui ne finit pas ». Dès lors, dit-il: «Avec l’aide de Dieu, j’ai contribué à la formation de cadres qui aujourd’hui ont pris en charge l’AFP ». «Je participe maintenant rarement aux réunions de l’AFP, toutes les réunions sont animées t dirigées par les jeunes cadres du parti; cadres ne veut pas dire être allé à l’université ».
Car «il y a des illettrés qui sont des cadres politiques grâce à l’expérience qu’ils ont accumulée, aux connaissances acquises et grâce à la maîtrise qui est la leur pour gérer les phénomènes de la vie quotidienne. Ce sont les cadres là et les cadres universitaires qui dirigent aujourd’hui l’AFP », assure Moustapha Niasse de préciser qu’il « ne dit pas qu’il a quitté le parti » mais « a laissé la bride libre aux jeunes cadres… ». «J’encourage, je soutiens et j’accompagne et quand il y a quelque chose à donner comme effort, je donne cet effort …», formule-t-il.
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