Le débat sur l’éventuel troisième mandat du président Macky Sall refait surface. Jean Paul Dias, membre de la coalition au pouvoir, a soutenu ce dimanche du la RFM que Macky Sall va tenter de se présenter pour la 3e fois en 2024.
« Il (Macky Sall) a l’intention de se présenter et il le tentera. Il tentera de se présenter. Il essaiera », a-t-il insisté, ajoutant qu’il n’aura pas de difficulté au niveau du Conseil constitutionnel et le reste il n’a pas de considération particulière sur ce que peuvent penser les Sénégalais au plan moral.
Selon ce membre de la coalition au pouvoir, seule une chose extraordinaire peut empêcher le président Sall d’y aller. Toutefois, il a rappelé que la jeunesse sénégalaise est défavorable à la tentative d’un troisième mandat.
Jean Paul Dias dit avoir du mépris pour les politiciens qui attendent que le clash arrive pour dire oui on le savait, prenant l’exemple sur le cas de l’ancien président Abdoulaye Wade en 2012. « Ils ont attendu que Wade perde les élections pour commencer à le quitter et à créer des partis de gauche à droite, alors qu’il fallait avoir le courage dès le départ de lui dire ».
Dias estime que les collaborateurs du président Macky Sall doivent lui faire comprendre dès maintenant qu’ils ne suivront pas le cortège du 3e mandat. « Qu’ils le disent clairement, car aucun d’eux ne l’a dit et attendez que Macky Sall se présente et qu’il perde, vous verrez, c’est ce jour là que lui-même découvrira avec tout ce qu’il a fait pour eux », a-t-il conclu.
« Il (Macky Sall) a l’intention de se présenter et il le tentera. Il tentera de se présenter. Il essaiera », a-t-il insisté, ajoutant qu’il n’aura pas de difficulté au niveau du Conseil constitutionnel et le reste il n’a pas de considération particulière sur ce que peuvent penser les Sénégalais au plan moral.
Selon ce membre de la coalition au pouvoir, seule une chose extraordinaire peut empêcher le président Sall d’y aller. Toutefois, il a rappelé que la jeunesse sénégalaise est défavorable à la tentative d’un troisième mandat.
Jean Paul Dias dit avoir du mépris pour les politiciens qui attendent que le clash arrive pour dire oui on le savait, prenant l’exemple sur le cas de l’ancien président Abdoulaye Wade en 2012. « Ils ont attendu que Wade perde les élections pour commencer à le quitter et à créer des partis de gauche à droite, alors qu’il fallait avoir le courage dès le départ de lui dire ».
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