Près de deux semaines après l'attaque du Hamas contre Israël et le début d'une guerre comptant déjà plus de 5 000 morts dans les deux camps, l'hôpital Ichilov de Tel-Aviv prépare le transfert de ses patients sous terre. Le plus grand hôpital public de la ville dispose d'une zone sécurisée pouvant accueillir jusqu'à 700 lits sur 1 600 en cas de guerre.
Située dans ce qui est en temps normal un parking, la partie souterraine de l'hôpital est équipée de tout le nécessaire pour assurer la sécurité des patients et du personnel. Si la sirène d’alarme retentit, poussant les Israéliens à se réfugier dans les abris, la décision peut être prise de transférer les patients dans cette zone sécurisée où tous les services sont réunis sur trois niveaux.
"On a une minute trente pour rejoindre un endroit protégé en cas d’alarme", explique le docteur Franck Atlan, responsable de la microchirurgie de la main dans le service d’orthopédie. "Et encore, une minute trente, c’est le luxe, puisqu'en bordure immédiate de Gaza, c’est 30 secondes."
Certains patients ont déjà été déplacés dans les sous-sols, comme ceux du service de dialyse. "En cas d'alarme, les patients ne peuvent pas être déconnectés [de leurs machines, NDLR] et ne peuvent pas courir se mettre à l'abri dans un endroit sûr", témoigne Yulia, une infirmière. "Ici, ils se sentent vraiment en sécurité."
Située dans ce qui est en temps normal un parking, la partie souterraine de l'hôpital est équipée de tout le nécessaire pour assurer la sécurité des patients et du personnel. Si la sirène d’alarme retentit, poussant les Israéliens à se réfugier dans les abris, la décision peut être prise de transférer les patients dans cette zone sécurisée où tous les services sont réunis sur trois niveaux.
"On a une minute trente pour rejoindre un endroit protégé en cas d’alarme", explique le docteur Franck Atlan, responsable de la microchirurgie de la main dans le service d’orthopédie. "Et encore, une minute trente, c’est le luxe, puisqu'en bordure immédiate de Gaza, c’est 30 secondes."
Certains patients ont déjà été déplacés dans les sous-sols, comme ceux du service de dialyse. "En cas d'alarme, les patients ne peuvent pas être déconnectés [de leurs machines, NDLR] et ne peuvent pas courir se mettre à l'abri dans un endroit sûr", témoigne Yulia, une infirmière. "Ici, ils se sentent vraiment en sécurité."
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