«Il n’y pas de recettes miraculeuses mais il faut parfois bâtir une stratégie sur la base du réalisme », a déclaré Aliou Sow à la RFM sur l’idée d’une candidature unique de l’opposition lors de l’élection présidentielle de 2019.
Selon lui, au vu des deux alternances survenues au Sénégal, l’opposition peut aller à ces élections en ordre dispersé d’autant plus que, «au Sénégal nous avons eu deux alternances, il n’y en a pas une seule issue d’une candidature unique de l’opposition ». Et, ajoute-t-il, «Nous n’avons pas aujourd’hui, comme en 2000, un parti ou une coalition qui sort largement du lot au point de devenir la locomotive naturelle de l'opposition».
Au vu de ses arguments, le leader du Mouvement des patriotes pour le développement (MPD/LIGGEEY), martèle : «la candidature plurielle me parait plus stratégique. Beaucoup de Sénégalais entrent en politique non pas sur la base d’idéologies, mais parce que simplement ils veulent que telle personne triomphe. Ces gens ne se mobilisent pas pour qu’un autre soit Président, mais pour voir leur champion triompher».
N’empêche, relève-t-il, «Si cela devait avoir lieu, ce qui n’est pas réalisable du tout, objectivement, je parle très honnêtement, celui qui sort du lot pour pouvoir être un candidat fédérateur de l’opposition, crédible, sérieusement préparé pour ébranler le régime, c’est Idrissa Seck. De tous les autres grands frères, toutes les autres personnes de ma génération, il sort largement du lot si on devrait arriver à cette situation».
Selon lui, au vu des deux alternances survenues au Sénégal, l’opposition peut aller à ces élections en ordre dispersé d’autant plus que, «au Sénégal nous avons eu deux alternances, il n’y en a pas une seule issue d’une candidature unique de l’opposition ». Et, ajoute-t-il, «Nous n’avons pas aujourd’hui, comme en 2000, un parti ou une coalition qui sort largement du lot au point de devenir la locomotive naturelle de l'opposition».
Au vu de ses arguments, le leader du Mouvement des patriotes pour le développement (MPD/LIGGEEY), martèle : «la candidature plurielle me parait plus stratégique. Beaucoup de Sénégalais entrent en politique non pas sur la base d’idéologies, mais parce que simplement ils veulent que telle personne triomphe. Ces gens ne se mobilisent pas pour qu’un autre soit Président, mais pour voir leur champion triompher».
N’empêche, relève-t-il, «Si cela devait avoir lieu, ce qui n’est pas réalisable du tout, objectivement, je parle très honnêtement, celui qui sort du lot pour pouvoir être un candidat fédérateur de l’opposition, crédible, sérieusement préparé pour ébranler le régime, c’est Idrissa Seck. De tous les autres grands frères, toutes les autres personnes de ma génération, il sort largement du lot si on devrait arriver à cette situation».
Autres articles
-
Ministère de l'éducation nationale : un recensement exhaustif des enseignants recommandé
-
Président Bassirou Diomaye "charge" le ministre de la Femme, de l'enfant et de l'Entrepreneuriat
-
Moussa Balla Fofana rassure l’intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales
-
Les 42 questions écrites de Guy Marius Sagna au nouveau gouvernement
-
Visite d'amitié au Sénégal : le Vice-président de l'Assemblée nationale de la Sierra Léone reçu au Palais