Monsieur le ministre de la communication
Les échanges que j'ai eus avec des acteurs de la presse m'ont permis de connaître plusieurs de leurs préoccupations. Je me fais donc le devoir de les partager, ici, avec vous afin que vous puissiez leur trouver des solutions dans l'intérêt bien compris de votre ministère et des acteurs qui jouent un rôle extrêmement important dans la marche de ce pays.
- La première de ces préoccupations, Monsieur le ministre, est l'absence jusqu'ici des décrets d'application sans lesquels, le nouveau code de la presse que nous avions voté dans cette Assemblée ne peut être réellement mis en oeuvre. Or, vous n'êtes pas sans savoir que le processus a durée plusieurs années en raison de problèmes d'interprétration liés surtout à la dépénalisation des délits de presse.
Monsieur le ministre, vous comprendrez donc, après le vote de ce code l'urgence qu'il y'a à prendre les décrets d'application permettant enfin sa mise en oeuvre. Qu'elles sont les assurances que vous pouvez donner sur cette question ?
- La deuxième préoccupation a trait à la maison de la presse dont la composition du conseil d'administration n'a pas encore trouvé un accord entre votre gouvernement et les principaux acteurs du secteur. Que comptez-vous faire concrètement pour enfin débloquer cette situation qui perdure ?
Monsieur le ministre, les acteurs de la presse déplorent aussi l'absence de concertation depuis votre prise de fonction. Vous n'avez pas rencontrez jusqu'ici le Synpics, encore moins des organisations comme la Convention des jeunes reporters ou l'Association de la presse en ligne (APEL).
Peut-on s'attendre à ce que vous initiez rapidement ces concertations afin de satisfaire cette attente des acteurs de la presse ?
- Enfin, Monsieur le ministre, les difficultés que traverse l'Agence de presse sénégalaise, sont d'autant plus inadmissibles que cette structure, qui est aussi un service public de l'information, n'est pas logée à la même enseigne que la Rts et le Soleil. Ce qui explique tout le malaise que vivent les agents qui y travaillent et qu'ils n'ont pas manqué de manifester récemment. Alors, Monsieur le ministre, de quoi peut on s'attendre concrètement et rapidement de la part de votre ministère pour un règlement définitif des difficultés de la presse ?
Les échanges que j'ai eus avec des acteurs de la presse m'ont permis de connaître plusieurs de leurs préoccupations. Je me fais donc le devoir de les partager, ici, avec vous afin que vous puissiez leur trouver des solutions dans l'intérêt bien compris de votre ministère et des acteurs qui jouent un rôle extrêmement important dans la marche de ce pays.
- La première de ces préoccupations, Monsieur le ministre, est l'absence jusqu'ici des décrets d'application sans lesquels, le nouveau code de la presse que nous avions voté dans cette Assemblée ne peut être réellement mis en oeuvre. Or, vous n'êtes pas sans savoir que le processus a durée plusieurs années en raison de problèmes d'interprétration liés surtout à la dépénalisation des délits de presse.
Monsieur le ministre, vous comprendrez donc, après le vote de ce code l'urgence qu'il y'a à prendre les décrets d'application permettant enfin sa mise en oeuvre. Qu'elles sont les assurances que vous pouvez donner sur cette question ?
- La deuxième préoccupation a trait à la maison de la presse dont la composition du conseil d'administration n'a pas encore trouvé un accord entre votre gouvernement et les principaux acteurs du secteur. Que comptez-vous faire concrètement pour enfin débloquer cette situation qui perdure ?
Monsieur le ministre, les acteurs de la presse déplorent aussi l'absence de concertation depuis votre prise de fonction. Vous n'avez pas rencontrez jusqu'ici le Synpics, encore moins des organisations comme la Convention des jeunes reporters ou l'Association de la presse en ligne (APEL).
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