Demandant aux pêcheurs de Guet Ndar de respecter la période de repos biologique, le gouvernement de la Mauritanie veut diminuer le nombre de licence de pêche attribuées aux sénégalais. Les autorités Mauritaniens envisagent de réduire les 300 licences au Tiers.
«A l’image des agriculteurs, les pêcheurs doivent respecter la période de repos biologique. 2 mois ce n’est rien. Pour nous c’est une occasion de revenir au bercail et de gérer le quotidien le temps du repos biologique» a fait savoir un propriétaire d’embarcation de campagne en Mauritanie, Ibrahima Seck sur les ondes de la Rfm. Selon lui, la différence de monnaie entre les deux pays étrangle le secteur. Il est d’avis que «si vous parvenez à faire une économie de 500 milles FCFA en Mauritanie, les 300 milles FCFA vont rester sur place à cause des charges qui sont très lourdes dans ce pays».
Pour lui, le repos biologique est tout à fait nécessaire et, au Sénégal, on devrait trouver une formule pour l’assurer à l’image de la Mauritanie.
Selon toujours nos confrères de la Rfm, une délégation sénégalaise est en Mauritanie où des négociations sont en cours pour obtenir le même nombre de licence sinon plus pour la campagne à venir.
«A l’image des agriculteurs, les pêcheurs doivent respecter la période de repos biologique. 2 mois ce n’est rien. Pour nous c’est une occasion de revenir au bercail et de gérer le quotidien le temps du repos biologique» a fait savoir un propriétaire d’embarcation de campagne en Mauritanie, Ibrahima Seck sur les ondes de la Rfm. Selon lui, la différence de monnaie entre les deux pays étrangle le secteur. Il est d’avis que «si vous parvenez à faire une économie de 500 milles FCFA en Mauritanie, les 300 milles FCFA vont rester sur place à cause des charges qui sont très lourdes dans ce pays».
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