Les entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC) sont asphyxiées par les marchés de gré à gré qui ne leur profitent pas. En effet, de la fabrication des visas biométriques qui a été gagnée par une entreprise ivoirienne Sneidai, à la confection des cartes d’identités numérisées avec le malaisien Iris sans citer Atos une filiale française dont le propriétaire n’est autre que Thierry Breton ancien ministre français de l’Economie pour le projet de coordination des réformes budgétaires et financières, toutes ces entreprises étrangères ont bénéficié du gré à gré.
Une procédure de passation qui exclut de facto les entreprises locales pour des domaines de sécurité nationale comme les visas et les cartes d’identités numérisées.
Et, la dernière affaire qui a suscité des interrogations, c’est l’indemnisation à hauteur de 13 milliards de CFA alloué l’homme d’affaires Adama Bictogo qui avait on s’en souvient gagner le marché de la fabrication de visas biométriques pour le compte du Sénégal et qui avait commencé à exécuter le marché.
Vient ensuite le marché des cartes d’identités numérisées, un juteux marché qui est tombé entre les mains d’une entreprise malaisien Iris, un marché ou toutes les procédures ont été violées pas d’appel d’offres, sans consultation sans même appel à consultation d’intérêt pour les entreprises locales.
Selon plusieurs chefs d’entreprises qui s’activent dans ce secteur interrogées par le journal Enquête, de tels marchés qui ont des aspects sécuritaires ne devraient pas tombés entre les mains des entreprises étrangères mieux aucune urgence ne justifie de telles procédures d’attribution. Sous le couvert de l’anonymat ils pensent que la fabrication de cartes d’identités numériques devaient revenir aux entreprises sénégalaises quelques soient leurs compétences ou la qualité de son offre.
Une procédure de passation qui exclut de facto les entreprises locales pour des domaines de sécurité nationale comme les visas et les cartes d’identités numérisées.
Et, la dernière affaire qui a suscité des interrogations, c’est l’indemnisation à hauteur de 13 milliards de CFA alloué l’homme d’affaires Adama Bictogo qui avait on s’en souvient gagner le marché de la fabrication de visas biométriques pour le compte du Sénégal et qui avait commencé à exécuter le marché.
Vient ensuite le marché des cartes d’identités numérisées, un juteux marché qui est tombé entre les mains d’une entreprise malaisien Iris, un marché ou toutes les procédures ont été violées pas d’appel d’offres, sans consultation sans même appel à consultation d’intérêt pour les entreprises locales.
Selon plusieurs chefs d’entreprises qui s’activent dans ce secteur interrogées par le journal Enquête, de tels marchés qui ont des aspects sécuritaires ne devraient pas tombés entre les mains des entreprises étrangères mieux aucune urgence ne justifie de telles procédures d’attribution. Sous le couvert de l’anonymat ils pensent que la fabrication de cartes d’identités numériques devaient revenir aux entreprises sénégalaises quelques soient leurs compétences ou la qualité de son offre.
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