La tuerie n’a pas été officiellement qualifiée d’acte raciste, mais elle a renforcé les craintes d’une communauté éprouvée depuis un an par une recrudescence du sentiment antichinois, à la faveur de la pandémie.
S’ajoutant à une vague d’agressions ravivant la longue histoire d’exclusion des Asiatiques aux Etats-Unis, les meurtres d’Atlanta ont provoqué l’émotion dans l’ensemble du pays. Des pancartes « Asian Lives Matter » sont apparues aux fenêtres en parallèle aux banderoles « Black Lives Matter » de l’été, et des messages « I am not a virus » sur les réseaux sociaux [« Je ne suis pas un virus »].
Selon les informations fournies par l'Agence de presse française (AFP), le président Joe Biden a fait mettre les drapeaux en berne, jeudi 18 mars, sur les bâtiments officiels. Dans son premier discours à la nation, après cinquante jours à la Maison Blanche, il avait dénoncé les « crimes haineux » frappant ses compatriotes originaires d’Extrême-Orient. Cela avait ému la communauté asiatique. Il a publié un décret appelant les responsables de la santé publique à adopter un langage neutre dans leurs publications sur le virus.
Comme en Californie, la sécurité a été renforcée dans les quartiers chinois de plusieurs villes américaines, de Chicago à New York. Objectif : rassurer les Américains d’origine asiatique, épouvantés par les fusillades du 16 mars qui ont fait huit morts dans trois salons de massage d’Atlanta (Géorgie), dont six femmes d’origine asiatique (dont quatre d’entre elles originaires de Corée du Sud).
S’ajoutant à une vague d’agressions ravivant la longue histoire d’exclusion des Asiatiques aux Etats-Unis, les meurtres d’Atlanta ont provoqué l’émotion dans l’ensemble du pays. Des pancartes « Asian Lives Matter » sont apparues aux fenêtres en parallèle aux banderoles « Black Lives Matter » de l’été, et des messages « I am not a virus » sur les réseaux sociaux [« Je ne suis pas un virus »].
Selon les informations fournies par l'Agence de presse française (AFP), le président Joe Biden a fait mettre les drapeaux en berne, jeudi 18 mars, sur les bâtiments officiels. Dans son premier discours à la nation, après cinquante jours à la Maison Blanche, il avait dénoncé les « crimes haineux » frappant ses compatriotes originaires d’Extrême-Orient. Cela avait ému la communauté asiatique. Il a publié un décret appelant les responsables de la santé publique à adopter un langage neutre dans leurs publications sur le virus.
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