De 1995 à 2007, la Première Dame de France, c'était elle. Bernadette Chirac, remplacée en 2007 par Carla Bruni-Sarkozy, avait même encensé l'ex-top model, disant d'elle qu'elle était "la Première Dame d'une France jeune qui change tous les jours. Elle est élégante, douce et gracieuse".
Mais la reine des Pièces jaunes n'est pas aussi sympathique et amicale avec la First Girlfriend, Valérie Trierweiler. Alors que les voix s'élèvent de plus en plus contre le fait qu'elle ne fasse toujours pas de choix entre son statut de Première Dame et son métier de journaliste (et qu'elle semble également mélanger les deux de plus en plus), Bernadette Chirac a apporté son eau au moulin hier alors qu'elle était invitée sur l'antenne de RTL.
Interrogée par Marc-Olivier Fogiel sur les choix professionnels de Valérie Trierweiler, la femme de Jacques Chirac a d'abord trouvé refuge dans une langue de bois bien protocolaire : "Chacune se doit de se comporter suivant son propre caractère, son propre tempérament", a déclaré l'ancienne Première Dame, ajoutant qu'elle ne souhaitait "porter aucun jugement sur aucune autre femme de chef d'Etat".
Ne lâchant pas l'affaire, Marc-Olivier Fogiel a alors demandé à Bernadette Chirac si présenter une émission télé sur Canal+ était compatible avec la fonction de Première Dame (Valérie Trierweiler est pressentie pour présenter une émission sur Direct 8, qui vient d'être rachetée par Canal+). La réponse a cette fois été plus franche : "Non, non, non, en tous cas je n'ai pas du tout les moyens intellectuels de faire ça. Non, je pense aussi que ça ne serait pas convenable." Et bim ! Encore un coup (de sac à main) dur pour Valérie Trierweiler !
CC (Closer.fr)
Mais la reine des Pièces jaunes n'est pas aussi sympathique et amicale avec la First Girlfriend, Valérie Trierweiler. Alors que les voix s'élèvent de plus en plus contre le fait qu'elle ne fasse toujours pas de choix entre son statut de Première Dame et son métier de journaliste (et qu'elle semble également mélanger les deux de plus en plus), Bernadette Chirac a apporté son eau au moulin hier alors qu'elle était invitée sur l'antenne de RTL.
Interrogée par Marc-Olivier Fogiel sur les choix professionnels de Valérie Trierweiler, la femme de Jacques Chirac a d'abord trouvé refuge dans une langue de bois bien protocolaire : "Chacune se doit de se comporter suivant son propre caractère, son propre tempérament", a déclaré l'ancienne Première Dame, ajoutant qu'elle ne souhaitait "porter aucun jugement sur aucune autre femme de chef d'Etat".
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CC (Closer.fr)
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