Le juge Sabassy Faye du Tribunal de grande instance de Ziguinchor (sud) a ordonné la réinscription de Ousmane Sonko, leader du parti Pastef Les Patriotes, sur les listes électorales après sa décision d'annuler sa radiation. Une décision de justice qui tarde à être appliquée puisque la Direction générale des élections (Dge) refuse l'accès à Ayib Daffé, mandataire de Sonko, venu lui récupérer ses fiches de parrainages. Devant le jury du Dimanche, Birame Faye, ministre de l’Artisanat, qui a réagi sur cette affaire de justice concernant Ousmane Sonko, a déclaré qu'en ce qui les (gouvernement, ndlr) concerne, ils saluent et respectent "les décisions rendues par la justice".
« Il y’a victoire, il n’y a pas victoire, c’est selon. Nous en ce qui nous concerne, nous sommes des républicains, des légalistes. Nous saluons et nous respectons les décisions rendues par la justice. Nous avons des juges bien formés et qui ont de l’expérience. Ils connaissent bien leur mission. Nous devons respecter les juges ainsi que toutes les institutions de ce pays. Mais ce que nous voyons aujourd’hui, c’est des gens qui contestent les décisions de justice et qui utilisent la même loi, le même droit et les mêmes procédures pour obtenir gain de cause. Il y’a une contradiction, il y’a un paradoxe par rapport au comportement de l’opposition ou une partie de l’opposition", a soutenu le ministre.
Birame Faye a rappelé que l’Etat a été débouté plusieurs fois et "ça montre que nous avons une justice indépendante comme toutes les institutions". Pour lui, "manquer de respect, défier toutes les institutions c’est extrêmement grave".
L'invité de I-radio, de ce 22 octobre 202, de lancer quelques piques au leader de Pastef, en prison depuis juillet dernier : "Sonko a fauté dans l’affaire Mame Mbaye Niang et il a été incapable d’apporter des preuves. C’est une série de contrevérités ou de mensonges, d’actes illégaux ou de défiances aux institutions autant qu’elles sont".
M. Faye a tenu à rappeler que : "Les hommes politiques ne sont pas des extraterrestres. Les hommes politiques, partout où ils sont accusés dans le monde, parlent de justice à deux vitesses. Depuis 1960 à aujourd’hui des hommes politiques ont été jugés et condamnés. Ce sont des sénégalais comme tout le monde et comme je vous l’ai dit, ils ne sont pas des extraterrestres".
Donc pour lui, " l’Etat de droit c'est le respect des lois et des règlements. Un homme responsable, il y’a des choses qu’il ne peut pas faire. Encore une fois nous sommes des républicains et nous sommes des légalistes. Nous acceptons toutes les décisions rendues par la justice", a-t-il conclu.
« Il y’a victoire, il n’y a pas victoire, c’est selon. Nous en ce qui nous concerne, nous sommes des républicains, des légalistes. Nous saluons et nous respectons les décisions rendues par la justice. Nous avons des juges bien formés et qui ont de l’expérience. Ils connaissent bien leur mission. Nous devons respecter les juges ainsi que toutes les institutions de ce pays. Mais ce que nous voyons aujourd’hui, c’est des gens qui contestent les décisions de justice et qui utilisent la même loi, le même droit et les mêmes procédures pour obtenir gain de cause. Il y’a une contradiction, il y’a un paradoxe par rapport au comportement de l’opposition ou une partie de l’opposition", a soutenu le ministre.
Birame Faye a rappelé que l’Etat a été débouté plusieurs fois et "ça montre que nous avons une justice indépendante comme toutes les institutions". Pour lui, "manquer de respect, défier toutes les institutions c’est extrêmement grave".
L'invité de I-radio, de ce 22 octobre 202, de lancer quelques piques au leader de Pastef, en prison depuis juillet dernier : "Sonko a fauté dans l’affaire Mame Mbaye Niang et il a été incapable d’apporter des preuves. C’est une série de contrevérités ou de mensonges, d’actes illégaux ou de défiances aux institutions autant qu’elles sont".
M. Faye a tenu à rappeler que : "Les hommes politiques ne sont pas des extraterrestres. Les hommes politiques, partout où ils sont accusés dans le monde, parlent de justice à deux vitesses. Depuis 1960 à aujourd’hui des hommes politiques ont été jugés et condamnés. Ce sont des sénégalais comme tout le monde et comme je vous l’ai dit, ils ne sont pas des extraterrestres".
Donc pour lui, " l’Etat de droit c'est le respect des lois et des règlements. Un homme responsable, il y’a des choses qu’il ne peut pas faire. Encore une fois nous sommes des républicains et nous sommes des légalistes. Nous acceptons toutes les décisions rendues par la justice", a-t-il conclu.
Autres articles
-
Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté
-
Budget 2026 des Forces armées : plus de 437 milliards FCFA pour renforcer la défense nationale
-
Budget 2026 : le ministre des Forces armées met l’accent sur la sécurité, les infrastructures et le bien-être des soldats
-
Arrestation de Karim Gueye et Cie : le Collectif du Peuple dénonce une "restriction des libertés publiques"
-
Etat de santé de Farba Ngom : l’APR met en garde contre les risques liés à son maintien en détention




Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté


