Ces sanctions avaient été prises au plus fort de la crise née de la décision du président de l’époque, Pierre Nkurunziza, de briguer un 3ème mandat. Une crise qui a fait, jusqu’en 2017, plus de 1200 victimes et poussé plus 400.000 autres personnes à l’exil.
La conseillère de la secrétaire générale de l’OIF, Vanessa Lamothe, revient sur les raisons qui ont guidé ce choix de levée des sanctions, jointe par Esdras Ndikumana, du service Afrique de RFI. « En 2016, le Conseil permanent de la Francophonie avait décidé de suspendre la coopération multilatérale avec le Burundi, en raison de différentes choses ; les actes de violence et aussi les atteintes aux droits humains.
A l’occasion de ce dernier Conseil permanent de la Francophonie, le Burundi, fort des élections qui se sont tenues dans son pays, a sollicité justement la suspension de cette mesure et l’ensemble des États et gouvernements ont accueilli favorablement cette demande du Burundi. Donc tout le monde s’est prononcé en faveur de cette levée des mesures de suspension de la coopération ».
La conseillère de la secrétaire générale de l’OIF, Vanessa Lamothe, revient sur les raisons qui ont guidé ce choix de levée des sanctions, jointe par Esdras Ndikumana, du service Afrique de RFI. « En 2016, le Conseil permanent de la Francophonie avait décidé de suspendre la coopération multilatérale avec le Burundi, en raison de différentes choses ; les actes de violence et aussi les atteintes aux droits humains.
A l’occasion de ce dernier Conseil permanent de la Francophonie, le Burundi, fort des élections qui se sont tenues dans son pays, a sollicité justement la suspension de cette mesure et l’ensemble des États et gouvernements ont accueilli favorablement cette demande du Burundi. Donc tout le monde s’est prononcé en faveur de cette levée des mesures de suspension de la coopération ».
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