Le Burundi a rejeté les demandes du Conseil de paix et sécurité de l'Union africaine. L'organisation souhaitait l'envoi d'experts militaires, d'observateurs des droits de l'homme et un dialogue pour un calendrier électoral consensuel. Bujumbura a balayé ces requêtes. Une attitude qui ne fait pas l'unanimité sur le continent. Elle est en tout cas critiquée par Ali Bongo, actuellement en déplacement en France.
«Il me semble que lorsque l’on se dirige vers des élections et que l’on veut que celles-ci puissent être bien perçues par la communauté internationale, alors on n’a aucun problème à accueillir des observateurs », a dit le Président gabonais.
«Il me semble que lorsque l’on se dirige vers des élections et que l’on veut que celles-ci puissent être bien perçues par la communauté internationale, alors on n’a aucun problème à accueillir des observateurs », a dit le Président gabonais.
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