
Dix partis politiques dont l’UNDP, URCA, RDC, RPR, MLPC, PATRIE, PAD, PGD, CRPS, KNK ont dénoncé la recrudescence des violences occasionnées par les combats fratricides qui opposent l’UPC et la coalition FPRC-MPC, trois groupes armés issus de l’ex-Séléka.
Ils l’ont fait savoir dans une déclaration commune publiée le mardi 14 février dernier.
Tous les grands partis politiques sont signataires de cette déclaration dans laquelle ils font état de leur inquiétude suite à la flambée de violences dans plusieurs villes de l’arrière-pays.
Ces formations politiques expliquent que « des foyers de violences d’une extrême gravité provoqués (…) se sont allumés presque sur toute l’étendue du territoire centrafricain ».
Dans leur communication, les leaders politiques craignent un embrasement généralisé qui, pourrait conduire à une possible déstabilisation de nouvelles institutions issues des élections de janvier-février 2016.
Le bloc de ces dix partis politiques engage le nouveau pouvoir et la Minusca à déployer les efforts nécessaires pour éviter ce qu’il appelle « la bataille de Bambari » dont les conséquences, selon la déclaration, pourraient être désastreuses.
Rappelons que les régions de la Haute Kotto et de la Ouaka sont en proie depuis trois mois à des violences liées aux combats qui opposent la coalition MPC-FPRC à l’UPC.
Il y a cinq jours, le général Joseph Zoundeko, ancien chef d’Etat-major de la Séléka, est tué dans un raid de la Minusca à l’entrée de la localité de Ippy, à moins de 80 Km de Bambari où sont retranchés Ali Daras et ses combattants.
La situation est confuse pour l’heure à Ippy et très précaire à Bambari où aucun combat n’est encore signalé même si les informations font état de tirs sporadiques.
Cette inquiétude des dix partis politiques sera-t-elle attendue par la Minusca et le gouvernement ?
Ils l’ont fait savoir dans une déclaration commune publiée le mardi 14 février dernier.
Tous les grands partis politiques sont signataires de cette déclaration dans laquelle ils font état de leur inquiétude suite à la flambée de violences dans plusieurs villes de l’arrière-pays.
Ces formations politiques expliquent que « des foyers de violences d’une extrême gravité provoqués (…) se sont allumés presque sur toute l’étendue du territoire centrafricain ».
Dans leur communication, les leaders politiques craignent un embrasement généralisé qui, pourrait conduire à une possible déstabilisation de nouvelles institutions issues des élections de janvier-février 2016.
Le bloc de ces dix partis politiques engage le nouveau pouvoir et la Minusca à déployer les efforts nécessaires pour éviter ce qu’il appelle « la bataille de Bambari » dont les conséquences, selon la déclaration, pourraient être désastreuses.
Rappelons que les régions de la Haute Kotto et de la Ouaka sont en proie depuis trois mois à des violences liées aux combats qui opposent la coalition MPC-FPRC à l’UPC.
Il y a cinq jours, le général Joseph Zoundeko, ancien chef d’Etat-major de la Séléka, est tué dans un raid de la Minusca à l’entrée de la localité de Ippy, à moins de 80 Km de Bambari où sont retranchés Ali Daras et ses combattants.
La situation est confuse pour l’heure à Ippy et très précaire à Bambari où aucun combat n’est encore signalé même si les informations font état de tirs sporadiques.
Cette inquiétude des dix partis politiques sera-t-elle attendue par la Minusca et le gouvernement ?
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