Après plusieurs tractations, le Conseil national de transition (CNT, parlement provisoire centrafricain) est parvenu jeudi à retenir 17 critères d'éligibilité pour être candidat au poste du nouveau président de transition. La date de l'élection a été également fixée au 20 janvier et le dépôt des candidatures prévue de vendredi à samedi matin.
Ne peuvent cependant pas être candidats à ce scrutin, les chefs des partis politiques, les militaires actifs, toutes les personnes ayant exercé des responsabilités au sein des institutions de transition sous la présidence de Michel Djotodia et celles ayant été "membres d'une milice ou d'une rébellion armée durant les 20 dernières années".
La décision du CNT comporte aussi des clauses subjectives sujettes à polémique, comme la condition pour tout candidat à "être crédible".
Mais pour les partenaires occidentaux et africains de Bangui, qui interviennent militairement dans le pays et financent un État quasiment failli, l'élu doit être "un président technique", selon un diplomate occidental.
Ne peuvent cependant pas être candidats à ce scrutin, les chefs des partis politiques, les militaires actifs, toutes les personnes ayant exercé des responsabilités au sein des institutions de transition sous la présidence de Michel Djotodia et celles ayant été "membres d'une milice ou d'une rébellion armée durant les 20 dernières années".
La décision du CNT comporte aussi des clauses subjectives sujettes à polémique, comme la condition pour tout candidat à "être crédible".
Mais pour les partenaires occidentaux et africains de Bangui, qui interviennent militairement dans le pays et financent un État quasiment failli, l'élu doit être "un président technique", selon un diplomate occidental.
Autres articles
-
Brésil : funérailles en hommage aux migrants africains retrouvés morts en mer
-
En Inde, la deuxième étape des élections générales s'ouvre sous une chaleur caniculaire
-
Le vice-ministre russe de la Défense, Timur Ivanov, a été arrêté pour corruption
-
Début des discussions entre Washington et Niamey sur le retrait des troupes américaines au Niger
-
50 ans de la révolution des Œillets au Portugal: «Tout risquer» au nom de la liberté