La société Eiffage qui exploite l’autorité à péage n’est pas fermée au dialogue pour revoir le coût de sa traversée. C’est ce qu’a soutenu l’ambassadeur français au Sénégal, Christophe Bigot, qui s’est exprimé hier sur le sujet sur les ondes de Sud fm.
«La position d’Eiffage, c’est de dire qu’elle a signé un contrat avec l’Etat sénégalais et que ce contrat porte sur la longue durée. Comme tout investissement, le respect de la parole donnée est essentiel. Eiffage a beaucoup d’intérêts au Sénégal et je sais qu’il est ouvert au dialogue pour regarder toutes les options» ; a-t-il déclaré.
Poursuivant, le diplomate français est d’avis qu’une rencontre de ce genre permettrait «de répondre à ce prix du péage». Mais, précise-t-il, il faut tenir compte de certaines modalités : «Je pense que cela doit se faire dans le cadre d’un dialogue entre l’Etat et Eiffage, en ayant en tête, d’une part les contrats conclus avec Eiffage, d’autre part aussi les perspectives. C’est ce qui va permettre à la fois que l’usager, l’Etat et Eiffage soient gagnant-gagnant dans ce processus. L’Etat perçoit des redevances et une fiscalité importante».
Et M. Bigot de conclure sur ce sujet : «L’usager bénéficie d’un service utile. Il faut regarder l’ensemble du réseau autoroutier actuel et à venir et regarder comment gérer ce réseau, trouver le juste prix qui est fonction du trafic, du nombre de kilomètres et aussi des travaux et services qui y sont rendus. Cela doit se faire dans le cadre du dialogue entre l’Etat qui accorde la concession et l’entreprise».
«La position d’Eiffage, c’est de dire qu’elle a signé un contrat avec l’Etat sénégalais et que ce contrat porte sur la longue durée. Comme tout investissement, le respect de la parole donnée est essentiel. Eiffage a beaucoup d’intérêts au Sénégal et je sais qu’il est ouvert au dialogue pour regarder toutes les options» ; a-t-il déclaré.
Poursuivant, le diplomate français est d’avis qu’une rencontre de ce genre permettrait «de répondre à ce prix du péage». Mais, précise-t-il, il faut tenir compte de certaines modalités : «Je pense que cela doit se faire dans le cadre d’un dialogue entre l’Etat et Eiffage, en ayant en tête, d’une part les contrats conclus avec Eiffage, d’autre part aussi les perspectives. C’est ce qui va permettre à la fois que l’usager, l’Etat et Eiffage soient gagnant-gagnant dans ce processus. L’Etat perçoit des redevances et une fiscalité importante».
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