En 2016, la température a été supérieure de 1,1 degré par rapport à la moyenne de l'époque préindustrielle. Conséquence : la banquise s'est fortement réduite, le niveau de la mer a continué à augmenter et les océans à se réchauffer.
Et ce sont là des constats à prendre très au sérieux : l'OMM s'appuie sur l'ensemble des données collectées par les principaux laboratoires de climatologie. Un bilan qui inquiète les scientifiques car selon certains, la perspective de stabiliser le réchauffement en dessous de 1,5 degré s'éloigne.
Dans de nombreuses régions, les populations ressentent déjà fortement les effets du réchauffement. Au Koweït, le thermomètre a atteint les 54°, la température la plus élevée jamais enregistrée en Asie. Et en Afrique de l'Est, le manque de pluie et les chaleurs extrêmes ont précipité près de 20 millions de personnes dans l'insécurité alimentaire.
Certains chercheurs avouent que ces changements sont tellement énormes que les scientifiques touchent désormais les limites des connaissances du système climatique. Selon eux, la planète entre « en territoire inconnu ».
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