Les députés Tocha et Mhadji ainsi qu'Idi Boina, tous trois opposants et recherchés par la police, sont allés dénoncer les risques d'une justice expéditive au PNUD de Moroni et demander une protection.
Les responsables des agences des Nations unies ont aussitôt pris contact avec le gouvernement comorien afin de l'en informer par souci d'impartialité et pour chercher ensemble une sortie de crise puisque les trois opposants sont restés réfugiés au PNUD.
Ils craignaient de connaître le même sort qu'Ahmed Barwane, le secrétaire général du parti d'opposition Juwa, arrêté pour association de malfaiteurs et complicité de tentative d'assassinat, dès le lancement de l'enquête sur l'agression d'un militaire qui sécurisait un bureau de vote le 30 juillet dernier, lors du référendum constitutionnel.
Pas encore inquiétés par les autorités
Après huit jours de tractations, les trois opposants sont sortis, jeudi 8 août, de leur silence. Ils déclarent qu'ils se rendront disponibles pour la justice comme le prévoit l'accord signé entre le PNUD et les autorités comoriennes qui assurent qu'elles respecteront le droit. Trente-six heures après leur sortie des locaux du PNUD, ils n'ont toujours pas été inquiétés.
Les responsables des agences des Nations unies ont aussitôt pris contact avec le gouvernement comorien afin de l'en informer par souci d'impartialité et pour chercher ensemble une sortie de crise puisque les trois opposants sont restés réfugiés au PNUD.
Ils craignaient de connaître le même sort qu'Ahmed Barwane, le secrétaire général du parti d'opposition Juwa, arrêté pour association de malfaiteurs et complicité de tentative d'assassinat, dès le lancement de l'enquête sur l'agression d'un militaire qui sécurisait un bureau de vote le 30 juillet dernier, lors du référendum constitutionnel.
Pas encore inquiétés par les autorités
Après huit jours de tractations, les trois opposants sont sortis, jeudi 8 août, de leur silence. Ils déclarent qu'ils se rendront disponibles pour la justice comme le prévoit l'accord signé entre le PNUD et les autorités comoriennes qui assurent qu'elles respecteront le droit. Trente-six heures après leur sortie des locaux du PNUD, ils n'ont toujours pas été inquiétés.
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