Il est de secret de polichinelle que dans les années 1960, le Japon était au même niveau de développement que l'Afrique. Cependant, il dépasse aujourd'hui de très loin notre continent. Le Japon fait même partie des grands de ce monde dans les secteurs économiques les plus porteurs dont celui de l'automobile.
Par ailleurs, les rapports économiques entre le pays nippon et le continent noir se fortifie chaque jour un peu plus tel que l'a démontré hier, l'ambassadeur Koïchiro Matssura lors d'une conférence qu'il animait dans la grande amphi de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le Japon est devenu aujourd'hui l'un des partenaires privilégiés de l'Afrique et l'aide dans différents domaines. En effet, l'aide publique au développement est orienté vers trois secteurs. Elle vise à renforcer le renforcement des infrastructures économiques et sociaux, le renforcement de la capacité humaine et l'aide humanitaire. Ce sont en fait les trois piliers sur lesquels reposent le développement de ce pays.
Ne disposant d'aucune ressources naturelles avec un relief volcanique, le japon a su transformer ses écueils en avantage. Ce qui lui a permis d'être là ou il est aujourd'hui. "Nous ne disposons pas de ressources naturelles comme l'Afrique mais nous avons su miser sur des secteurs porteurs et sur les ressources humaines pour nous en sortir", a expliqué le conférencier du jour. Car, des professeurs prenant part à la conférence ont souligné en fin d'exposé que "le Japon avait déjà trop donné et qu'il est temps que l'Afrique prenne son destin en main". Conviction que partage l'ambassadeur Matsuura qui la trouve même "courageuse venant d'Africains". Il ajoute à cet effet, qu'il "est important que les Africains le sachent".
Ainsi, comme le Japon l'Afrique doit aussi organiser sa propre révolution à l'image de celle du "Meiji". Replié sur lui même, le pays nippon a cru en lui et au développement endogène. C'est ce que doit faire l'Afrique aujourd'hui. Croire en elle et en sa culture pour aller de l'avant.
Par ailleurs, les rapports économiques entre le pays nippon et le continent noir se fortifie chaque jour un peu plus tel que l'a démontré hier, l'ambassadeur Koïchiro Matssura lors d'une conférence qu'il animait dans la grande amphi de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le Japon est devenu aujourd'hui l'un des partenaires privilégiés de l'Afrique et l'aide dans différents domaines. En effet, l'aide publique au développement est orienté vers trois secteurs. Elle vise à renforcer le renforcement des infrastructures économiques et sociaux, le renforcement de la capacité humaine et l'aide humanitaire. Ce sont en fait les trois piliers sur lesquels reposent le développement de ce pays.
Ne disposant d'aucune ressources naturelles avec un relief volcanique, le japon a su transformer ses écueils en avantage. Ce qui lui a permis d'être là ou il est aujourd'hui. "Nous ne disposons pas de ressources naturelles comme l'Afrique mais nous avons su miser sur des secteurs porteurs et sur les ressources humaines pour nous en sortir", a expliqué le conférencier du jour. Car, des professeurs prenant part à la conférence ont souligné en fin d'exposé que "le Japon avait déjà trop donné et qu'il est temps que l'Afrique prenne son destin en main". Conviction que partage l'ambassadeur Matsuura qui la trouve même "courageuse venant d'Africains". Il ajoute à cet effet, qu'il "est important que les Africains le sachent".
Ainsi, comme le Japon l'Afrique doit aussi organiser sa propre révolution à l'image de celle du "Meiji". Replié sur lui même, le pays nippon a cru en lui et au développement endogène. C'est ce que doit faire l'Afrique aujourd'hui. Croire en elle et en sa culture pour aller de l'avant.
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