Ce sont quatorze cercueils drapés des couleurs de la Côte d’Ivoire et alignés dans la cour d’honneur du camp militaire Gallieni d’Abidjan, auxquels les autorités ont pu rendre hommage. Treize militaires et un gendarme tués le 11 juin dans l’attaque du poste mixte, installé à la frontière burkinabè, dans le cadre de l’opération « Frontière étanche ».
Le ministre de la Défense Hamed Bakayoko a décoré à titre posthume les militaires et gendarme tombés et les a faits chevallier de l’Ordre national. Puis, le chef d’état-major de l’armée de terre a prononcé une longue oraison, dénonçant « la barbarie de ceux qui comme des vampires s’abreuvent du sang. L’adversaire n’était pas le nombre ou la puissance de feu, mais la perfidie et la traitrise était l’ennemi », a déclaré le général.
Beaucoup s’attendaient à ce que le chef de l’État ivoirien prenne la parole. Il était présent, mais cela n’a pas été le cas. Alassane Ouattara a simplement déposé une gerbe au pied de la stèle dédiée au soldats morts pour la patrie.
D’ailleurs, en Côte d’Ivoire, beaucoup s’interrogent sur cette absence de prise de parole publique du président de la République. Il ne s’est pas exprimé depuis l’attaque, il y a près de quatre semaines, et même ces derniers temps, après les glissements de terrain et inondations meurtriers de la fin juin.
Le ministre de la Défense Hamed Bakayoko a décoré à titre posthume les militaires et gendarme tombés et les a faits chevallier de l’Ordre national. Puis, le chef d’état-major de l’armée de terre a prononcé une longue oraison, dénonçant « la barbarie de ceux qui comme des vampires s’abreuvent du sang. L’adversaire n’était pas le nombre ou la puissance de feu, mais la perfidie et la traitrise était l’ennemi », a déclaré le général.
Beaucoup s’attendaient à ce que le chef de l’État ivoirien prenne la parole. Il était présent, mais cela n’a pas été le cas. Alassane Ouattara a simplement déposé une gerbe au pied de la stèle dédiée au soldats morts pour la patrie.
D’ailleurs, en Côte d’Ivoire, beaucoup s’interrogent sur cette absence de prise de parole publique du président de la République. Il ne s’est pas exprimé depuis l’attaque, il y a près de quatre semaines, et même ces derniers temps, après les glissements de terrain et inondations meurtriers de la fin juin.
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