L’Alliance pour la République (APR) et le groupe parlement Benno Bokk Yaakaar n’ont pas attendu pour répondre aux membres du Conseil de Paris, Anne Hidalgo et Patrick Klugman, qui en annonçant la création d'un Observatoire international des maires en danger, ont évoqué le cas du maire de Dakar Khalifa Sall. La maire de Paris et son collègue affirment que Khalifa n'est pas poursuivi en justice pour des faits qui lui sont reprochés, mais pour sa position politique d'élu local et de maire. Ce qui a fait sortir les membres du parti au pouvoir, qui accusent Madame Hidalgo "d'atteinte à la souveraineté du Sénégal, de son peuple et de ses institutions, notamment judiciaires"
Les apéristes estiment que, l’appréciation du Conseil de Paris sur la procédure judiciaire en cours, faisant état d’une poursuite non naturelle et d’un jugement précipité prouve la subjectivité, la condescendance et le mépris de Mme Hidalgo et ses collaborateurs à l’endroit de la République du Sénégal et de ses institutions, pour une affaire pendante devant la justice.
« Cette posture aux allures nostalgiques d’un néocolonialisme révolu ne saurait prospérer. Le Sénégal, pays indépendant et souverain ne saurait l’accepter », ont-ils remarqué dans le communiqué lu par nos confrères du quotidien Libération.
Les Républicains restent convaincus que les gesticulations du Conseil de Paris n’entravent en rien le fonctionnement des institutions du pays.
Dans cette dynamique, le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar pensent que les insinuations du Conseil de Paris ne reposent sur aucun fondement et sont d’autant plus inacceptable.
« Les Sénégalais ont confiance en leur justice qui dit le droit et fait respecter la loi, tout comme dans tous les pays démocratiques. Dans cet esprit, toute tentative d’exercer des pressions sur notre pays et sur ses institutions est vouée à l’échec », lit-on dans le communiqué.
Les apéristes estiment que, l’appréciation du Conseil de Paris sur la procédure judiciaire en cours, faisant état d’une poursuite non naturelle et d’un jugement précipité prouve la subjectivité, la condescendance et le mépris de Mme Hidalgo et ses collaborateurs à l’endroit de la République du Sénégal et de ses institutions, pour une affaire pendante devant la justice.
« Cette posture aux allures nostalgiques d’un néocolonialisme révolu ne saurait prospérer. Le Sénégal, pays indépendant et souverain ne saurait l’accepter », ont-ils remarqué dans le communiqué lu par nos confrères du quotidien Libération.
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