
La fédération nationale des acteurs de la filière lait local du Sénégal se sont réunis pour trouver une solution à l’étau qui les étouffe. En effet ces acteurs veulent dénoncer l’importation du lait en poudre qui étouffe le développement du lait local.
Le président de la FENALIS, M. Bocar Diop a fait savoir qu’ils sont confrontés à une concurrence déloyale qui est lié à l’importation du lait en poudre importé mais surtout au fait que ce lait n’est pas taxé comme il se doit. En effet, selon ce dernier, il est taxé à 5% ce qui ne permet pas au lait local d’être compétitif. En plus de tout cela, le président trouve que la filière n’est pas soutenue, il y a une insuffisance d’équipements de collecte, de conservation et de transformation du lait, l’enclavement des zones de production entre autre.
Cependant, souligne Mr Diop les acteurs de la filière lait sont capable de couvrir les besoins de consommation en lait au niveau national. Selon lui, ils disposent d’un cheptel de 3 163 000 bovins dont 70% de femelles, ce qui fait un potentiel de production de lait de 1 600 000 l/J.
Comme solution, ces acteurs appellent l’Etat a organisé une campagne laitière comme il en fait dans le domaine de l’agriculture, du coton et autre. La FENALIS propose l’institutionnalisation de campagnes de collecte, de conservation, et de transformation du lait à partir de 2 zones test (Ferlo, et Sud). Selon le président, il a été constaté que la surproduction durant l’hivernage pousse les producteurs à déverser le lait alors qu’au même moment le Sénégal continue d’importer du lait.
La FENALIS opère dans le secteur du lait dans 4 régions agro sylvopastorales du Sénégal. Elle vise à promouvoir le lait local et à réduire la domination du lait en poudre dans la consommation des ménages.
Le président de la FENALIS, M. Bocar Diop a fait savoir qu’ils sont confrontés à une concurrence déloyale qui est lié à l’importation du lait en poudre importé mais surtout au fait que ce lait n’est pas taxé comme il se doit. En effet, selon ce dernier, il est taxé à 5% ce qui ne permet pas au lait local d’être compétitif. En plus de tout cela, le président trouve que la filière n’est pas soutenue, il y a une insuffisance d’équipements de collecte, de conservation et de transformation du lait, l’enclavement des zones de production entre autre.
Cependant, souligne Mr Diop les acteurs de la filière lait sont capable de couvrir les besoins de consommation en lait au niveau national. Selon lui, ils disposent d’un cheptel de 3 163 000 bovins dont 70% de femelles, ce qui fait un potentiel de production de lait de 1 600 000 l/J.
Comme solution, ces acteurs appellent l’Etat a organisé une campagne laitière comme il en fait dans le domaine de l’agriculture, du coton et autre. La FENALIS propose l’institutionnalisation de campagnes de collecte, de conservation, et de transformation du lait à partir de 2 zones test (Ferlo, et Sud). Selon le président, il a été constaté que la surproduction durant l’hivernage pousse les producteurs à déverser le lait alors qu’au même moment le Sénégal continue d’importer du lait.
La FENALIS opère dans le secteur du lait dans 4 régions agro sylvopastorales du Sénégal. Elle vise à promouvoir le lait local et à réduire la domination du lait en poudre dans la consommation des ménages.
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