Munis de pancartes sur lesquelles ont peut lire « égalité dans le traitement des agents de l’Etat » ou encore « marche pour la restauration de la dignité de l’enseignant », les acteurs de l’éducation ont pris le temps d’une journée la place des automobilistes et autres cars rapides sur cette avenue qui est très dense. Et partout ou ils sont passés les populations sont sorties pour les acclamer d’autres faire des signes d’approbation montrant leur soutient pour les marcheurs qui ont décidé de braver le chaud soleil de ce jeudi 18 février.
Une marche qui a vu la participation des hommes politique comme Mamadou Diop Decroix ou encore Momar Samb, l’autre fait marquant c’est la présence massive des femmes qui ont pris les devants avec une banderole sur laquelle on peut lire « pour la restauration de la dignité des enseignants et le respect des accords ». Ainsi la marche a pris départ sous les coups de 11 heures avec le top départ donné au rond point de la Fasteef ex école normale de Dakar pour finir vers les coups de 14 heures au niveau du rond point Jet d’eau avec une déclaration commune lue par Mamadou Lamine Dianté du Grand cadre.
Et, Selon Moustapaha Sall du syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) «Nous, on ne retournera pas dans les amphis tant que les quatre points signés avec le gouvernement ne sont pas résolus, à savoir , la réforme des titres, le droit au logement, la prise en charge sanitaire et la retraite » Avant d’ajouter que « Ces quatre points, ne sont pas des points quantitatifs, mais, c’est des points qu’il faut matérialiser. Et tant que ces points ne sont réglés les universités seront perturbées », avertit Moustapha Sall Coordonnateur du Saes.
Dans la même lancée, Mamadou Lamine Dianté, secrétaire général du Saems-Cusems dira que « la marche d’aujourd’hui est mémorable, et l’heure est grave et le dernier recours c’est Monsieur le président de la République Macky Sall. Ajoutant que si cela ne suffit pas nous allons décentraliser la marche dans tous les départements pour faire face au gouvernement».
Auparavant le secrétaire général du Cusems Abdoulaye Ndoye, s’est désolé de l’attitude du gouvernement qui ne respecte jamais ses paroles tout en déplorant la non prise en charge sanitaire car sur 103 mille fonctionnaires seul 71 mille sont pris en charge sur le plan sanitaire. Et, Abdoulaye Ndoye de déclarer que « si l’Etat ne satisfait pas à leurs revendications, ils vont se lever comme un seul homme pour se battre pour la revalorisation et la réhabilitation de la fonction d’enseignant au Sénégal », conclu t-il.
Au cours de cette marche les camarades de Yankhoba Seydi ont scandé tout au long leur randonnée de protestation le départ des ministres en charge de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur à savoir Serigne Mbaye Thiam mais aussi Mary Teuw Niane, en ont pris pour leur grade.
Une marche qui a vu la participation des hommes politique comme Mamadou Diop Decroix ou encore Momar Samb, l’autre fait marquant c’est la présence massive des femmes qui ont pris les devants avec une banderole sur laquelle on peut lire « pour la restauration de la dignité des enseignants et le respect des accords ». Ainsi la marche a pris départ sous les coups de 11 heures avec le top départ donné au rond point de la Fasteef ex école normale de Dakar pour finir vers les coups de 14 heures au niveau du rond point Jet d’eau avec une déclaration commune lue par Mamadou Lamine Dianté du Grand cadre.
Et, Selon Moustapaha Sall du syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) «Nous, on ne retournera pas dans les amphis tant que les quatre points signés avec le gouvernement ne sont pas résolus, à savoir , la réforme des titres, le droit au logement, la prise en charge sanitaire et la retraite » Avant d’ajouter que « Ces quatre points, ne sont pas des points quantitatifs, mais, c’est des points qu’il faut matérialiser. Et tant que ces points ne sont réglés les universités seront perturbées », avertit Moustapha Sall Coordonnateur du Saes.
Dans la même lancée, Mamadou Lamine Dianté, secrétaire général du Saems-Cusems dira que « la marche d’aujourd’hui est mémorable, et l’heure est grave et le dernier recours c’est Monsieur le président de la République Macky Sall. Ajoutant que si cela ne suffit pas nous allons décentraliser la marche dans tous les départements pour faire face au gouvernement».
Auparavant le secrétaire général du Cusems Abdoulaye Ndoye, s’est désolé de l’attitude du gouvernement qui ne respecte jamais ses paroles tout en déplorant la non prise en charge sanitaire car sur 103 mille fonctionnaires seul 71 mille sont pris en charge sur le plan sanitaire. Et, Abdoulaye Ndoye de déclarer que « si l’Etat ne satisfait pas à leurs revendications, ils vont se lever comme un seul homme pour se battre pour la revalorisation et la réhabilitation de la fonction d’enseignant au Sénégal », conclu t-il.
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