«Notre mouvement affirme ici, pour que nul n’en ignore, se démarquer de la démarche des organisations dites «patronales» notamment le Cnp, la Cnes, le Ges, l’Unacois et le Mdes qui, à travers une lettre, intiment l’ordre à leur membre, d’attendre qu’un candidat soit désigné par les présidents, pour voter pour ce dernier, au cours des prochaines élections consulaires », peut-on lire dans le communiqué.
Et cette décision est motivée, de l’avis des membres de ce mouvement par «plusieurs incohérences et amalgames (qui) émaillent cette lettre » : «Cette lettre est écrite et signée non pas par le président de la CNES mais par son directeur exécutif qui n’est pas du secteur privé. Il est un fonctionnaire. Ce Directeur Exécutif n’a donc aucune légitimité pour parler au nom du secteur privé. Le fait est tellement cocasse qu’il relèverait de l’insolite. L’autre bizarrerie relevée dans ce communiqué est qu’il ne parle que de la chambre de commerce de Dakar, ce qui veut dire que les autres chambres, ayant moins de ressources, ne les intéressent pas», relèvent-ils entre autres griefs.
Selon les membres du mouvement : «Ceci renseigne sur les intentions inavouées de ce groupe qui s’est illustré au fil des ans, comme des organisations poursuivant une mission d’assouvissement d’intérêts particuliers. Cet état de fait constaté par l’opinion et les pouvoirs publics est à l’opposé des idéaux poursuivis par notre mouvement dont le socle est de redynamiser toutes les chambres de commerce et d’accompagner tous les opérateurs économiques, même des villages les plus reculés».
Et cette décision est motivée, de l’avis des membres de ce mouvement par «plusieurs incohérences et amalgames (qui) émaillent cette lettre » : «Cette lettre est écrite et signée non pas par le président de la CNES mais par son directeur exécutif qui n’est pas du secteur privé. Il est un fonctionnaire. Ce Directeur Exécutif n’a donc aucune légitimité pour parler au nom du secteur privé. Le fait est tellement cocasse qu’il relèverait de l’insolite. L’autre bizarrerie relevée dans ce communiqué est qu’il ne parle que de la chambre de commerce de Dakar, ce qui veut dire que les autres chambres, ayant moins de ressources, ne les intéressent pas», relèvent-ils entre autres griefs.
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