« La Cour suprême ne peut pas rester muette sous prétexte que le gouvernement évoque la sécurité nationale. » C’est ainsi que les juges de la plus haute cour du pays ont justifié la création d’un comité d’enquête sur l’utilisation du logiciel Pegasus.
Celui-ci sera composé de trois éminents professeurs en cybersécurité et en intelligence artificielle, encadrés par un haut fonctionnaire de police et un haut magistrat à la retraite.
Leur mission sera de déterminer si ce logiciel a été acheté par le gouvernement, s’il a été utilisé sur des Indiens, ainsi que de recommander des réformes législatives pour garantir la protection de la vie privée des citoyens. Pour cela, ces enquêteurs peuvent interviewer qui ils veulent, assurent les juges.
Pour les défenseurs des libertés individuelles, cette décision est historique, car elle signifie que les plus hauts magistrats du pays considèrent que des droits fondamentaux ont pu être violés et qu’ils demanderont des comptes au gouvernement.
Celui-ci sera composé de trois éminents professeurs en cybersécurité et en intelligence artificielle, encadrés par un haut fonctionnaire de police et un haut magistrat à la retraite.
Leur mission sera de déterminer si ce logiciel a été acheté par le gouvernement, s’il a été utilisé sur des Indiens, ainsi que de recommander des réformes législatives pour garantir la protection de la vie privée des citoyens. Pour cela, ces enquêteurs peuvent interviewer qui ils veulent, assurent les juges.
Pour les défenseurs des libertés individuelles, cette décision est historique, car elle signifie que les plus hauts magistrats du pays considèrent que des droits fondamentaux ont pu être violés et qu’ils demanderont des comptes au gouvernement.
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