Beyrouth s'est réveillée pour le cinquième jour consécutif au milieu des décombres, avec en son cœur un cratère de 43 mètres de profondeur. Moins d'une semaine après la double explosion qui s'est produite le 4 août dans la zone portuaire et qui a fait plus de 150 morts et environ 6000 blessés, les secours tentent toujours de trouver d'éventuels survivants. Alors que l'aide internationale s'achemine vers la capitale libanaise, bénévoles et employés d'organisations non gouvernementales engagés sur le terrain, sont à pied d'œuvre. À l'instar de Patricia Khoder, responsable de la communication de l'ONG Care et habitante de Beyrouth, contactée par France 24, qui avoue être toujours en "état de choc".
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