Le groupe informatique Atos, en pleine restructuration financière, est entré en négociations exclusives avec l'Etat français en vue de lui céder les activités stratégiques de sa branche Advanced Computing, qui comprennent notamment des supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire, a-t-il annoncé lundi
Début novembre, Atos avait déjà annoncé l'émission d'une action de préférence au profit de la France, lui octroyant des droits particuliers au niveau de Bull SA, la filiale qui construit les supercalculateurs utilisés notamment pour simuler les essais de dissuasion nucléaire. Le sort du géant de l'informatique (n°2 français) est aussi un enjeu de sécurité nationale.
Début novembre, Atos avait déjà annoncé l'émission d'une action de préférence au profit de la France, lui octroyant des droits particuliers au niveau de Bull SA, la filiale qui construit les supercalculateurs utilisés notamment pour simuler les essais de dissuasion nucléaire. Le sort du géant de l'informatique (n°2 français) est aussi un enjeu de sécurité nationale.
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