La levée de l'immunité parlementaire de Khalifa Sall sera examinée ce samedi à 18 heures à l'Assemblée nationale par les élus du peuple. Le président du parti Rewmi qui a réagi dans l'édition d'informations de 12 heures sur la Rfm trouve la procédure comique et illogique. "La question que tout le monde se pose, c'est comment peut-on lever une immunité qu'on n'a pas établi au préalable. C'est comme si vous voulez déshabiller quelqu'un sans l'avoir habillé au préalable", a-t-il déclaré à nos confrères.
Idrissa Seck d'expliquer ensuite : "Si aujourd'hui Khalifa Sall était libre, si les poursuites étaient suspendues et la détention arrêtée, il aurait pu comparaître en homme livre devant la commission (ad hoc). Et une fois son immunité levée, là les poursuites peuvent reprendre et la détention, si elle est nécessaire, établie"
Idrissa Seck d'expliquer ensuite : "Si aujourd'hui Khalifa Sall était libre, si les poursuites étaient suspendues et la détention arrêtée, il aurait pu comparaître en homme livre devant la commission (ad hoc). Et une fois son immunité levée, là les poursuites peuvent reprendre et la détention, si elle est nécessaire, établie"
Autres articles
-
Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté
-
Budget 2026 des Forces armées : plus de 437 milliards FCFA pour renforcer la défense nationale
-
Budget 2026 : le ministre des Forces armées met l’accent sur la sécurité, les infrastructures et le bien-être des soldats
-
Arrestation de Karim Gueye et Cie : le Collectif du Peuple dénonce une "restriction des libertés publiques"
-
Etat de santé de Farba Ngom : l’APR met en garde contre les risques liés à son maintien en détention





Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté


