La levée de l’immunité parlementaire de Barthélémy Dias semble inéluctable. En effet, après la ratification de la commission ad hoc, il ne reste que la barrière de la plénière qui n’est qu’une formalité pour voir l’immunité dont bénéficiait jusqu’à présent le responsable socialiste être levée.
Mais, depuis l’accès des libéraux au pouvoir, les Sénégalais commencent à s’habituer à cet exercice. En effet, depuis 2000, cinq (5) députés y sont passées, et trois d’entre eux, Abdoulaye Baldé, Ousmane Ngom, Abdoulaye Baldé, ont été dépouillés de «cet habille», suite à la demande de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
Mais au paravent, un autre régime libéral a déjà eu à user de ce recours. Du temps du Président Abdoulaye Wade, Moussa Tine, alors n°2 du Jëf Jël, est passé à un cheveu de la levée de son immunité dans l’affaire l’opposant au chef de cabinet d’alors du Président Wade, Pape Samba Mboup.
Quant à l’actuel président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, renseigne la Rfm, il s’est rétracté après avoir accusé le régime de Me Wade, de financer sa campagne grâce à la soustraction de 6 milliards de FCFA, des Fonds routiers.
Mais, Barthélémy Dias risque de ne pas bénéficier de la baraka des deux dernières personnalités. Rendez-vous est donc pris pour le 11 novembre, date de la plénière des députés.
Mais, depuis l’accès des libéraux au pouvoir, les Sénégalais commencent à s’habituer à cet exercice. En effet, depuis 2000, cinq (5) députés y sont passées, et trois d’entre eux, Abdoulaye Baldé, Ousmane Ngom, Abdoulaye Baldé, ont été dépouillés de «cet habille», suite à la demande de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
Mais au paravent, un autre régime libéral a déjà eu à user de ce recours. Du temps du Président Abdoulaye Wade, Moussa Tine, alors n°2 du Jëf Jël, est passé à un cheveu de la levée de son immunité dans l’affaire l’opposant au chef de cabinet d’alors du Président Wade, Pape Samba Mboup.
Quant à l’actuel président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, renseigne la Rfm, il s’est rétracté après avoir accusé le régime de Me Wade, de financer sa campagne grâce à la soustraction de 6 milliards de FCFA, des Fonds routiers.
Mais, Barthélémy Dias risque de ne pas bénéficier de la baraka des deux dernières personnalités. Rendez-vous est donc pris pour le 11 novembre, date de la plénière des députés.
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